et je rajoute que, dans 20 ans, au lieu d’environ 400000 habitants, ils seront plus de 1 million a vivre sur cette île grande comme a peu près 1/4 de la corse... alors l’autonomie oui, peut être, a condition d’ être BEAUCOUP moins nombreux et surtout plus prévoyants, et cela, permettez moi d’en douter ! (j’écris "ils seront" car je compte partir bientôt après plus de 20 années passés en Guadeloupe)
bonjour hase je suis de Guadeloupe, mais je ne constate pas la même chose que toi ! certes il y a qq éoliennes et une (mini) centrale géothermique existantes, mais la quasi-totalité de l’électricité vient de 2 bonnes vielles centrales thermiques a mazout, une qui d’ailleurs propulse dans l’atmosphère deux joyeuses colonnes de fumée au dessus de Jarry toute l’année, et une autre vers le Moule qui fonctionne également a la bagasse (résidu de la canne a sucre). il y a egalement qq AMAP qui fonctionne ça et la, mais l’autonomie, c’est franchement pas pour demain tellement les supermarchés et les concessionnaires de voitures sont approvisionnés ! si par malheur l’approvisionnement en nourriture et carburant venait a cesser ne serait ce que qq jours, le chaos est ce qu’il arriverait le plus vite a défaut de solutions de rechange !!
il est bien possible qu’ils aient, en quelque milliers d’années d’histoire, eu l’idée de fabriquer des blocs plutôt que de les tailler et transporter.
ce que je n’arrive pas a comprendre des officiels qui parlent des égyptiens, c’est le fait qu’ils affirment haut et fort qu’ils ne connaissaient pas la roue, ni les maths, ni la monnaie etc etc... bref ils étaient particulièrement nuls.
comment peut on affirmer une chose pareille rien qu’en constatant leur réalisations ? désolé, mais construire la plus massive structure sur terre en une vingtaine d’années avec 20000 ouvriers ou même 100000 ouvriers sans un minimum de technologie faut vraiment pas nous prendre pour des prunes !
quand je regarde leur réalisations, je ressent un sentiment d’humilité et de respect a leur égard. eux qui pensaient a l’avenir, et nous qui n’y pensons plus.