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Indépendance des Chercheurs

Indépendance des Chercheurs

Collectif de chercheurs pour la défense de l’indépendance des scientifiques au service de l’intérêt général.

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Photo : Illustration d’un livre de Giordano Bruno sur la Mnémotechnique (source : Wikipédia).

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    Indépendance des Chercheurs Indépendance des Chercheurs 22 octobre 2011 11:09

    Les publicités médiatiques dans cette affaire paraissent d’ailleurs très "orientées". Voir cet autre article dans notre blog La Science au XXI Siècle :
     

    http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/10/13/vitesse -de-la-lumiere-opera-et-superbradyons-iii.html


    Vitesse de la lumière, OPERA et superbradyons (III)


    Le 13 octobre, la Fête de la Science commencée la veille se poursuit. Mais la Science fait-elle vraiment la fête ? L’Alsace s’interroge sur la « crise des vocations », alors que La Voix du Nord commente : « Pauvre science ». Certes, France Soir écrit « La Fête des sciences célèbre ses 20 ans ! » et L’Express invite : « Menez l’enquête pour la Fête de la science ». Mais la dégradation progressive de l’ambiance au sein des institutions scientifiques françaises s’exprime, par exemple, par la chute de plus en plus inquiétante de la participation des scientifiques aux élections professionnelles. Ou par l’arrêt de fait, depuis deux ans, des activités de la Coordination dite des « laboratoires en lutte » au bénéfice de transactions et de réunions restreintes aux directeurs de laboratoire et aux « membres d’instances », laissant de côté la grande majorité des chercheurs et des autres personnels de la recherche. Même le Prix Nobel de Jules Hoffmann (70 ans) ne change pas le constat des ravages causés par la politique appliquée depuis plus de vingt-cinq ans et qui a considérablement affaibli des organismes publics comme le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). La manière sensationnaliste, hâtive et peu fondée dont ont été rédigés les communiqués officiels sur les résultats récents d’OPERA à propos de la possibilité d’un neutrino dépassant la vitesse de la lumière, est-ce autre chose qu’une tentative de masquer la réalité et la gravité de cette crise ? En même temps, certains comportements au sein de la recherche et de l’information scientifique françaises paraissent très contestables et contraires à l’intérêt général. C’est le cas, par exemple, du silence institutionnel gardé sur le travail récent de notre collègue Luis Gonzalez-Mestres, pourtant chercheur au CNRS, concernant les possibles incompatibilités du résultat annoncé par OPERA avec l’ensemble des données phénoménologiques bien établies en Astrophysique et en Physique des Particules. Alors qu’un journal comme Le Monde fait une importante publicité d’un travail concurrent, de portée moins importante, du Prix Nobel US Sheldon Glashow (avec Andrew G. Cohen, qui n’est pas, non plus, mentionné). En réalité, les idées générales de ce type d’approche critique avaient déjà été exposées par Gonzalez-Mestres la veille de la parution de son deuxième article plus détaillé diffusé en même temps que celui de Cohen et Glashow. Les sources d’information de l’article de David Larousserie dans Le Monde « Neutrinos plus rapides que la lumière, une illusion d’optique ? » paraissent donc regrettablement incomplètes ou biaisées.

    [la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/10/13/vitesse -de-la-lumiere-opera-et-superbradyons-iii.html ]

     


    Cordialement


    Le Collectif Indépendance des Chercheurs

    http://science21.blogs.courrierinternational.com/

    http://www.mediapart.fr/club/blog/Scientia



  • 6 votes
    Indépendance des Chercheurs Indépendance des Chercheurs 22 octobre 2011 11:06

    Quant à l’annonce du résultat d’OPERA, telle qu’elle a été formulée dans les communiqués du CNRS ou ministériels, elle était manifestement prématurée. Surtout, dans un domaine comme la Physique des neutrinos où les erreurs expérimentales, assorties de publicités qui se sont avérées infondées, n’ont pas manqué par le passé.
     
    Voir nos articles :

     
    http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/09/23/vitesse -de-la-lumiere-et-superbradyons.html

    Vitesse de la lumière, OPERA et superbradyons (I)


    Le 23 septembre, la collaboration OPERA (Oscillation Project with Emulsion-tRacking Apparatus) diffuse sur le site arXiv.org son article faisant état d’une vitesse des neutrinos supérieure à celle de la lumière. L’article d’OPERA confirme ainsi la précédente annonce publiée par l’expérience MINOS il y a quatre ans. Un résultat expérimental qui fait couler de l’encre, mais qui n’est pas si surprenant dans le contexte de l’hypothèse des superbradyons formulée il y a bientôt dix-sept ans par notre collègue Luis Gonzalez-Mestres. Même si les données et l’analyse d’OPERA nécessitent une vérification plus poussée, et qu’il reste à comprendre de manière précise la valeur expérimentale de l’effet détecté. L’annonce de ce résultat donne lieu depuis jeudi à des réactions diverses. Si Sciences

    et avenir écrit « Neutrinos superluminiques : des résultats "à prendre avec des pincettes"  », Métro France interroge : « La vitesse de la lumière enfin dépassée par une particule ? ». Le Point publie une interview de Thibault Damour avec le titre « Ne détrônons pas trop vite Einstein ». Mais s’agit-il vraiment de cela ? Et peut-on vraiment comparer les neutrinos d’OPERA avec ceux émis par l’explosion de la supernova SN1987A ? Maxisciences évoque une « découverte inattendue de particules qui dépassent la vitesse de la lumière », alors que Le Temps souligne : « Plus vite que la lumière et plus loin qu’Einstein ». On oublie un peu vite Henri Poincaré, qui fut le véritable créateur de la théorie de la relativité. Même le communiqué du 22 septembre du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) emploie à tort ce type de raccourci inexact. De même, lorsque l’auteur du communiqué du CNRS écrit « Jusqu’ici, la vitesse de la lumière a toujours été considérée comme une limite infranchissable », il oublie le travail de longue date de Luis Gonzalez-Mestres, pourtant chercheur de cet établissement, qui depuis 1995 a émis et étudié à contre-courant l’hypothèse de la possible existence de particules avec masse et énergie positives et avec une vitesse critique dans le vide très supérieure à celle de la lumière (les superbradyons). Le 23 septembre également, Gonzalez-Mestres a mis

    en ligne dans arXiv.org une nouvelle version élargie de son article « Cosmic rays and tests of fundamental principles » explicitant davantage, dans le Post Scriptum, les conséquences de son approche spinorielle à la géométrie de l’espace-temps déjà évoqué dans notre article Frères Bogdanoff, cosmologie, pré-Big Bang, Wikipédia...(I). Si les données récentes d’OPERA et leur interprétation devaient s’avérer exactes, la différence observée entre la vitesse des neutrinos et celle de la lumière ne paraît pas facile à expliquer. Un très faible mélange avec des superbradyons pourrait être une éventuelle explication de ce phénomène. La géométrie spinorielle de l’espace-temps proposée par Luis Gonzalez-Mestres peut également jouer un rôle.

    [la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/09/23/vitesse -de-la-lumiere-et-superbradyons.html ]


    http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/10/01/vitesse -de-la-lumiere-opera-et-superbradyons-ii.html

    Vitesse de la lumière, OPERA et superbradyons (II)


    Le 1er octobre, Atlantico écrit : « Ce ne sont pas les neutrinos qui vont trop vite, ce sont les médias », à propos de l’annonce de la collaboration OPERA sur la vitesse critique dans le vide du neutrino associé au muon. Lequel neutrino serait légèrement supraluminal. Alors que Cyberpresse exalte « Plus vite que la lumière : du boulot pour les cerveaux ! » et le Courrier Picard alerte à son tour : « High-Tech. Un accélérateur américain détrôné par le LHC ferme ses portes », évoquant la fermeture prochaine du Tevatron dans l’Illinois. Sur cette fermeture du Tevatron, Nature commente : « Fermilab faces life after the Tevatron ». Mais quel est le rapport entre les enjeux financiers et les annonces institutionnelles plus ou moins sensationnalistes sur des « découvertes » ? France Soir emploie le titre « Théorie de la relativité  : Einstein avait raison », se référant à un article de Radoslaw Wojtak, Steen H. Hansen et Jens Hjorth intitulé « Gravitational redshift of galaxies in clusters as predicted by general relativity » et paru également dans Nature. Mais l’analyse de France Soir est inexacte sur au moins deux points. Le premier, comme déjà évoqué dans notre article « Vitesse de la lumière, OPERA et superbradyons (I) », réside dans l’attribution à Einstein de la paternité exclusive de la théorie de la relativité au détriment du rôle bien connu d’Henri Poincaré qui fut le véritable auteur de la relativité restreinte, même si Einstein élabora par la suite la relativité générale que le résultat paru dans Nature vient de vérifier encore. Mais surtout, France Soir estime à tort que l’annonce récente d’OPERA « remettait totalement en cause la théorie de la relativité d’Einstein ». En réalité, il s’agit d’un écart relatif de 2.5 x 10 ?5 entre les vitesses critiques du neutrino associé au muon et du photon. C’est une violation de la relativité restreinte, certes, mais faible dans l’absolu (même si elle est beaucoup trop forte pour être phénoménologiquement viable) et sans rapport avec la vérification de la relativité générale parue dans Nature dont l’intérêt n’est point en cause. A propos du résultat d’OPERA, notre collègue Luis Gonzalez-Mestres, cherchant notamment à explorer le rôle éventuel de son hypothèse des superbradyons dans la génération d’une telle anomalie, a tout d’abord entrepris de vérifier dans un cadre général la consistance globale entre cette annonce d’une vitesse supraluminale du neutrino et les données expérimentales bien établies de la Physique des Particules et de l’Astrophysique. En clair : que se passerait-il inévitablement si le neutrino avait une telle vitesse critique ? Luis Gonzalez-Mestres a ainsi abouti, de manière indépendante de toute théorie spécifique, au constat d’une inconsistance claire entre l’annonce du 22 septembre de la collaboration OPERA et ce contexte expérimental. Il s’ensuit que l’idée d’un caractère supraluminal aussi marqué pour le neutrino associé au muon doit en tout état de cause être dès à présent abandonnée, même si la porte reste ouverte à de possibles violations de l’invariance de Lorentz beaucoup plus faibles. Les données d’OPERA semblent donc avoir comporté une erreur expérimentale.

    [la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/10/01/vitesse -de-la-lumiere-opera-et-superbradyons-ii.html ]


    Cordialement

    Le Collectif Indépendance des Chercheurs
    http://science21.blogs.courrierinternational.com/
    http://www.mediapart.fr/club/blog/Scientia



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    Indépendance des Chercheurs Indépendance des Chercheurs 22 octobre 2011 10:55

    Il faudrait d’emblée préciser que la relativité restreinte ne fur pas l’oeuvre d’Einstein, mais d’Henri Poincaré avec une importante contribution de Lorentz. Surtout, en ce qui concerne le rôle de la vitesse de la lumière en tant que vitesse critique. Voir notre article :
     
    http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/10/16/cnrs-opera-einstein-poincare-lorentz-relativite.html

    CNRS, OPERA, Einstein, Poincaré, Lorentz, relativité

    Le 16 octobre, La Montagne évoque « Douze projets pour défendre la science » mis en avant par Claudie Haigneré dans le cadre de la Fête de la Science. Mais a-t-on vraiment besoin de «  projets pour défendre la science », ou le problème réel se situe-t-il ailleurs ? Précisément, des organismes comme le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) se trouvent sous la coupe des « projets » depuis deux décennies, et le bilan de cette stratégie ne paraît pas très brillant. Pas seulement dans le domaine de la recherche, mais aussi dans celui de l’information scientifique. Les communiqués du CNRS et du gouvernement français sur les résultats annoncés par la collaboration OPERA, concernant la possible évidence d’un caractère supraluminal du neutrino associé au muon, semblent avoir semé une confusion dans les médias qui risque de se retourner contre les objectifs apparents de cette propagande hâtive et démesurée à la recherche d’un « effet grand public » immédiat. C’est ainsi, par exemple, que le 16 octobre International Business Times écrit « Neutrinos aren’t Faster than Light : Einstein’s Theory comes to His Rescue », se référant à un article récent de Ronald van Elburg qui estime avoir répéré une erreur expérimentale. Et de toute évidence, ce n’est pas fini. Précisément, les photos grand format d’Albert Einstein ont fait le tour des journaux sous l’impulsion des communiqués du CNRS et de ses tutelles, où on peut lire des inexactitudes flagrantes telles que : « Avec la théorie de la relativité restreinte énoncée en 1905, Einstein avait notamment prouvé que rien ne pouvait dépasser la vitesse de la lumière dans le vide » (CNRS). Ou encore, même contenu : « Einstein avait prédit, avec la théorie de la relativité restreinte en 1905, que la vitesse de la lumière dans le vide ne pouvait pas être dépassée » (Le portail de la science). Comment des textes émanant d’instances au plus haut niveau peuvent-ils affirmer des choses pareilles ? La réalité est qu’Henri Poincaré fut, avec une importante contribution de Hendrik Antoon Lorentz, le véritable auteur de la théorie de la relativité restreinte qu’il annonça dès 1904. Mais de surcroît, s’agissant de l’impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière, cette situation était bien connue de Poincaré et de Lorentz depuis longtemps avant l’article d’Albert Einstein de 1905. Elle s’est même trouvée à la base de leur démarche théorique depuis les années 1890.

    [la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2011/10/16/cnrs-opera-einstein-poincare-lorentz-relativite.html ]
     

    Cordialement

    Le Collectif Indépendance des Chercheurs
    http://science21.blogs.courrierinternational.com/
    http://www.mediapart.fr/club/blog/Scientia



  • 1 vote
    Indépendance des Chercheurs Indépendance des Chercheurs 28 octobre 2010 18:19

    Voir nos deux articles du 27 octobre :
     
    http://www.mediapart.fr/club/blog/scientia/271010/carmen-de-jong-saisit-la-presidence-du-cnrs

    Carmen de Jong saisit la présidence du CNRS

    Le 27 octobre, la géographe Carmen de Jong, spécialiste connue notamment dans les domaines de l’hydrologie et de la géomorphologie, nous informe de sa démarche auprès de la présidence du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) demandant l’annulation de la décision de la direction du CNRS d’il y a un an et demi qui supprime l’Unité Mixte de Service UMS 3046, intitulée Montagne. Carmen de Jong dirigeait cette unité jusqu’à sa suppression. Un tel recours est encore possible, en principe, du fait que la notification adressée à l’intéressée ne comporte aucune mention des délais et voies pour contester la décision. L’UMS 3046 avait été créée moins de deux ans avant cette étrange suppression, qui ne semble évoquer aucun avis d’une instance scientifique statutaire. Pourquoi une telle décision, prise d’une manière pour le moins surprenante ? La question paraît d’autant plus pertinente que, comme le souligne notre article du 27 octobre « CNRS - universités : non au projet d’accord-cadre !  » (blog du Courrier International), le CNRS s’apprête à transférer aux universités « autonomes » l’essentiel de ses prérogatives en matière de gestion. Quelles en seront les conséquences ? Ce premier article que nous consacrons à la situation de Carmen de Jong aborde la question des rapports entre les universités et le CNRS à propos de la création et la fermeture de l’UMS 3046.

     
    [la suite, sur le lien http://www.mediapart.fr/club/blog/scientia/271010/carmen-de-jong-saisit-la-presidence-du-cnrs ]
     

    http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2010/10/27/ou-mene-la-tant-vantee-autonomie-des-universites-i.html 

     

    Où mène la tant vantée "autonomie" des universités ? (I)

     

    Le 27 octobre, dans un article intitulé « Le lifting géants des universités », Le Post évoque l’inauguration par Valérie Pécresse de l’exposition « 12 campus du 21ème siècle ». Expositions, « liftings »... est-ce cela dont l’enseignement supérieur et la recherche français ont besoin ? Le 27 octobre également, avec le titre « Les projets du Plan Campus présenté à Sarkozy », France BTP évoque la présentation à Nicolas Sarkozy, par Valérie Pécresse, des cinquante-huit chantiers du Plan Campus. De même, notre article du 27 octobre sur ce blog : « CNRS - universités : non au projet d’accord-cadre ! » souligne la gravité du projet d’accord-cadre entre le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) et la Conférence des Présidents d’Université (CPU) qui sera soumis demain au Conseil d’administration du CNRS. Quelles seront les conséquences réelles du démantèlement du CNRS et de la prétendue « autonomie » d’universités placées de plus en plus ouvertement sous la tutelle de fait du secteur privé ? La question est invariablement étouffée par un flot de propagande gouvernementale, mais la situation réelle devient de plus en plus inquiétante. Notre article du 27 octobre sur Médiapart « Carmen de Jong saisit la présidence du CNRS » aborde, précisément, les conclusions que l’on peut tirer de l’affaire de Carmen de Jong en ce qui concerne l’évolution des deux dernières décennies vers une « autonomie » croissante des universités au détriment du rôle national du CNRS en tant qu’organisateur de la recherche publique. Et que penser du fonctionnement actuel des institutions françaises, du point de vue des risques de conflits d’intérêts ?

     

    [la suite, sur le lien http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2010/10/27/ou-mene-la-tant-vantee-autonomie-des-universites-i.html ]

     
    Et pour rappel, notre article :
     
    CNRS - universités : non au projet d’accord-cadre !



    Cordialement

    Le Collectif Indépendance des Chercheurs
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    http://www.mediapart.fr/club/blog/Scientia



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    Indépendance des Chercheurs Indépendance des Chercheurs 2 septembre 2010 10:16

    Pardon, l’article du Nouvel Observateur est de février 1997, pas de février 2007 !

    A cette époque, l’opération du Rubbiatron s’accompagnait de demandes budgétaires très importantes, comme si tout était prêt pour une grande opération industrielle. Les faits ont montré que la réalité en était très loin.

    Le groupe de recherche qui critiquait ce projet a été supprimé avec la "restructuration" du laboratoire du Collège de France.

     

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