Jean Keim

@yoananda2

Votre mépris est à sens unique.

Jésus est un nom, c’est pratique pour le désigner, il a expliqué qui il était, ce n’est pas du domaine de l’identification à une idée, dit autrement ce n’est pas le résultat d’un calcul ni d’un devenir, il est pleinement, totalement ce qu’il est.

Nous ne pouvons pas être autre chose que ce que nous sommes ‘’d’instant en instant’’, ce n’est aucunement une question de réthorique qui ne serait qu’une réaction, mais une aperception.

@Gollum (& Yoananda2 par association)

<< Or ce nombre est un nombre triangulaire, 153 est le triangulaire de 17, ce dernier nombre étant un nombre particulier, je n’entre pas dans les détails.. mais cela montre une influence pythagoricienne sur les rédacteurs.. les nombres triangulaires étant particulièrement vénérés par les disciples de Pythagore. >>

Si, si entrez dans les détails, allez compulser vos grimoires et faites nous profiter de leurs sciences (celles des grimoires que vous faites votres) par un savant copié-collé.

Il faut avoir l’esprit terriblement surchargé pour divaguer à ce point, comme quoi le ridicule est partout.

Après un personnage imaginaire, après Mithra et d’autres fantaisies, après les Zélotes, voilà Pythagore qui rapplique et les nombres triangulaires, donc en fait Jésus peut être n’importe quoi ou n’importe qui, toutes les options sont acceptables, sauf celle présentant Jésus comme étant Jésus.

@yoananda2

Nous ne sommes que des personnages, artefacts dans des mémoires modelés par des modes de penser, certains en ont conscience à des degrés divers et d’autres se la jouent à fond.

On mélange allègrement les faits et gestes des chrétiens en les imputants également à Jésus qui lui n’était pas chrétien.

@Gaspard Delanuit

Effectivement que le linceul de Turin (le suaire d’Oviedo et la tunique d’Argenteuil) soit authentique ou pas ne change rien quand aux événements qui se sont déroulés il y a 2 000 ans, seulement quand on voit l’acharnement à vouloir démontrer que Jésus est un mythe, on peut également en sourire, surtout quand on veut rattacher ce mythe pour l’expliquer à tout un ensemble de soi-disant connaissances gnostiques, alors que plus simplement il s’agit d’évènements singuliers dont le déroulement se suffit à lui-même ; les rejeter ou en faire un récit religieux est du même tonneau, c’est passer à côté de quelque chose d’essentiel.