Eckart tolle montre du doigt la souffrance inhérente à l’être humain et propose d’y porter notre attention, c’est déjà ne plus la subir, mais la première étape est de reconnaître notre propre souffrance, et ce n’est pas si simple, surtout lorsqu’on ne sort pas des automatismes du genre : "salut, ça va ?" "ça va, et toi ?".
Vla l’jean, "Dans les années 70 il y avait une vraie psychose collective prédisant l’imminence d’une fin du monde nucléaire... Alors les prophètes de malheur peuvent sembler plus malins ou moins naïfs que les autres, ils n’ont pas pour autant raison." Mettez-vous au courant de l’actualité, renseignez-vous sur les conséquences de Fukushima, et vous verrez que la "psychose collective" n’était pas sans fondements. Et je ne cite que Fukushima
Tous les systèmes politiques se sont cassé la gueule, on se fait avoir à chaque fois que l’on vote et ça continuera, c’est ce que je crois avoir compris. On a le gouvernement que l’on mérite ou qui nous ressemble. Seul un changement individuel amènera quelque chose de nouveau. En allant voter on est toujours le même mouton dans le troupeau. J’ai compris la première et dernière fois que j’ai voté avec conviction pour élire Mitterand (Balavoine l’a très bien exprimé à l’époque,"j’emmerde tous les systèmes politiques", il était aussi écoeuré que tous ceux qui y croyaient) . Pas d’espoir dans ce domaine, on est pas en Islande, on ne virera pas les banques en france. Passons-nous du gouvernement, organisons-nous , la solidarité nous sauvera, mais pour l’instant notre société à tout fait pour nous diviser, nous ne savons plus vivre et j’ai bien peur qu’il soit trop tard pour faire le chemin à l’envers.