Dans les années 60, le psychiatre Leon Eisenberg avait prétendu « découvrir » le « trouble du déficit de l‘attention avec hyperactivité » (TDAH) et l’avait fait ajouter au DSM en affirmant que le TDAH avait une origine génétique, rendant ainsi le traitement médicamenteux moins discutable.
En 2009, seulement 7 mois avant de mourir, il a avoué dans un interview donné à ’’Der Spiegel’’ qu’en réalité, « le TDAH est l’exemple révélateur d’une maladie fabriquée de toute pièce ».
Le méthylphénidate, substance active de base dans la ritaline, le concerta, le quasym, a les effets indésirables suivants : « nervosité et insomnie ; troubles du système nerveux, somnolence, vertiges, dyskinésie ; troubles du système cardiovasculaire, palpitation…hyperactivité, convulsions, tics, dépression transitoire de l’humeur … »
Il y a de gros problèmes en psychiatrie : elle prétend soigner, mais personne ne guérit… Est-ce vraiment de la médecine, et le qualificatif de « soins » est-il vraiment approprié ?
Voici un élément à l’appui de ma question :
Depuis l’affaire du Médiator, les langues se délient ! John Virapen est justement l’ancien responsable du laboratoire Eli Lilly en Suède ; à ce titre il a écrit le livre "Médicaments effets secondaires : la mort", paru en Français au printemps 2014. Il y dénonce (avoue ) que : « les antidépresseurs provoquent la dépression » ; « le Prozac : des milliers de suicides et de meurtres » ; « pas la moindre base scientifique à la théorie de la sérotonine » ; « des prescriptions hors autorisations de mise sur le marché » ; « la dangereuse psychiatrisation de l’enfance » ; « la corruption des systèmes de santé et des médecins » ; « les malades sont trop souvent des cobayes »