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Lila K

Première moitié d’une paire de jumelles qui voient loin.
Voir Nina

Tableau de bord

  • Premier article le 10/09/2011
  • Modérateur depuis le 08/08/2012
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Lila K Lila K 9 août 2015 12:16

    @Miona
    La liste des salles n’est pas encore affichée sur le site de Jupiter Films.

    Ils la donneront sûrement dans les prochains jours (il reste plus d’un mois avant la sortie du film).



  • vote
    Lila K Lila K 7 août 2015 15:44

    Les affaires judiciaires - Résumé (dernière partie)

     

    Lors d’une négociation de plaidoyer, le gouvernement a accepté de renoncer à 23 de ses 24 chefs d’accusation, en échange de son plaider coupable, le 17 août 2006, ne gardant qu’un motif de conspiration à “faire fusionner / mélanger les comptes des investisseurs avec les siens, suivant en cela les suggestions de la Republic Bank, mais sans en informer les investisseurs”, malgré le fait que Republic New York avait confirmé par lettre à la fin 2001, en réponse aux investisseurs japonais (qui avaient déposé plainte contre eux) “qu’Armstrong et ses entités de Princeton avaient l’autorisation contractuelle de fusionner / mélanger les fonds” puisque tous les comptes gérés par Armstrong ou ses entités de Princeton chez Republic New York, étaient placés sous sa seule autorité. Ignorant tout bonnement ces faits, le juge a condamné Armstrong, le 10 avril 2007, à une peine d’incarcération supplémentaire de cinq ans.
     
    Ce n’est que le 2 septembre 2011 qu’il fut enfin libéré. Le 18 avril 2012, Armstrong envoya une lettre ouverte à l’ancien administrateur judiciaire de la U.S. Securities and Exchange Commission, M. Tancred Schiavoni. Armstrong nous donne un résumé de sa version de l’affaire.



  • vote
    Lila K Lila K 7 août 2015 15:42

    Les affaires judiciaires - Résumé (5ème partie)

     

    Armstrong a fait pression pour qu’un procès ait lieu rapidement, afin de pouvoir être libéré, du fait qu’aucune somme ne restait dûe, puisque Republic New York avait intégralement remboursé les sommes spoliées. Pour l’en empêcher, le gouvernement a renvoyé tous ses avocats, le privant de tout conseil, ainsi que de sa société. Ceci a eu lieu lors d’une audience extraordinaire, à huis clos, au cours de laquelle le gouvernement a fait expulser la presse, en toute illégalité, le 24 avril 2000. L’agence Associated Press a rapporté l’incident, posant la question le 26 avril 2000 : “C’est à se demander si le prévisionniste financier du New Jersey pourra bénéficier d’un procès équitable”.
     
    Le gouvernement prononça alors une sentence d’outrage au tribunal, et malgré les statuts officiels la limitant en principe à 18 mois maximum, il fut maintenu en prison, sur la base de l’outrage, sans avocat, sans procès, ni motif, pendant plus de 7 ans, ce qui en fait la plus longue incarcération pour outrage au tribunal de l’histoire des États-Unis d’Amérique.



  • 1 vote
    Lila K Lila K 7 août 2015 15:41

    Les affaires judiciaires - Résumé (4ème partie)

     

    Dans l’incapacité de démarrer les procédures pendant une période si longue — car il n’y a aucune possibilité de recours à un procès devant un jury dans les cas d’outrage — le Wall Street Journal a mentionné l’affaire dans leur édition du 8 janvier 2009, sous le titre : “Aucun motif : dans les affaires d’outrage civil, la durée d’incarcération peut se prolonger pendant des années”, Armstrong n’a pas trouvé d’autre moyen de s’en sortir, que de plaider coupable.
     
    Pour avoir apparemment détruit des biens appartenant à la prison, il a été soudain placé à l’isolement (au “trou”) pendant douze journées consécutives, le privant ainsi de la possibilité de consulter des dossiers d’une importance cruciale pour lui permettre d’assurer sa propre défense.



  • 1 vote
    Lila K Lila K 7 août 2015 15:39

    Les affaires judiciaires - Résumé (3ème partie)

     

    Alors qu’Armstrong était en détention provisoire, attendant son procès, le tribunal a nommé l’administrateur judiciaire Tancred Schiavoni.
    Ce dernier a essayé de mettre la main sur le code source non compilé, qui était la clé dont Armstrong se servait jusque là pour effectuer
    toutes ses prévisions financières, d’une exactitude redoutable. Mais Armstrong refusa obstinément de lui remettre le code tant recherché.
     
    Comme Armstrong n’avait cédé ni les actifs, ni les documents (donc le code source) exigés par le gouvernement, le juge Richard Owen ordonna qu’il soit incarcéré. Alors que dans la plupart des cas de ce genre, une personne est détenue une durée qui n’excède jamais 18
    mois, le Juge Owen a ré-imposé la même durée d’incarcération de manière répétée, exigeant que les éléments qu’il avait demandés soient remis par Armstrong. Il fut éventuellement dessaisi du dossier par un panel de la Cour d’appel des États-Unis pour le Second Circuit, ses magistrats ayant décidé que l’affaire avait besoin d’ “un regard neuf.”

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