Maetha

Merci pour cet article. C’est central ! Merci de cette analyse. C’est tout à fait scandaleux !

 *Ce matin "sur" France culture (qui écouter puisque France inter est pire encore ?), à l’heure du petit déjeuner, l’intox sur ce qu’il se passe en Syrie.

 Les moyens de s’informer par internet permettent de mesurer l’épaisseur de la propagande et du mensonge médiatique :
 L’air apitoyé sur ce qu’il se passe à Alep ces jours-ci et la destruction de son patrimoine historique par l’armée du très méchant Al Hassad. Alors que tout le monde sait que la France et l’OTAN sont les principaux responsables de cette agression.
 Ce qui font cela feraient bien de se souvenir de ce qu’il s’est passé après la première guerre mondiale. Le mensonge institué : la "VO 911", la Libye puis la Syrie et puis jusqu’où ? A oui la bombe atomique Iranienne... Pourquoi se priver de ces méthodes fachos, quand on se croit fort ?

 Le mensonge permanent c’est la "paille" dans le métal du "colosse".

Merci à Erwanet pour cette vidéo. Voilà à quoi réfléchissent nos décideurs. C’est inquiétant.

 Le débat est parti ici sur les hydrocarbures. Mon espoir est de voir enfin posé sur Agoravox la question des origines de ces dérivés hydrogénés du carbone. C’est une question clé. Peut-être que si nous avions fait un forage profond, très profond, du style de celui de Deap Water Horizon, c.à d. 5500 mètres et plus (je dis bien 5,5kms) sous le gaz de Lacq on aurait eu une surprise.

 Pour le moment les hydrocarbures ne manquent pas, on en découvre tous les jours. Avant de toucher à ce principe de précaution, qui fait partie de notre Constitution, qui fait notre originalité et que tout le monde devraient nous envier, il faut poser les vrais questions.

On assiste de nouveau ici à une manipulation médiatique. Ce PRINCIPE DE PRECAUTION est sacré, il n’est PAS QUESTION D’Y TOUCHER.

 La question se pose pour les OGMepa dit PGM (depuis peu, cela fait plus savant, c’est ce terme qui est choisi maintenant par nos commissions décisionnelles). Les décisionnaires pro PGM nous a expliqué que si on avait écouté les détracteurs il n’y aurait jamais eu le train !...
 Il faut de grosses images pour faire avaler la pilule.
 Partant de ce principe, sans même avoir vérifié par des expériences publiques et contradictoires les dires de Monsanto, nos commissions décisionnelles ont donné un avis favorable à leur utilisation.
 Il faut bien voir que c’est grâce à ce Principe de précaution que l’on a pu jusque là s’opposer à la pénétration de ces produits en France.

 Et là, le plus drôle de tout, c’est que ces commissions, qui n’ont pas fait les travaux qu’ils auraient dû faire pour s’assurer par eux-même, sur des délais suffisamment longs, plusieurs années au moins, condamnent TOUTES les travaux de celui qui les a fait, avec toute la rigueur scientifique que les crédits qu’il a pu réunir lui ont permis.
 Obligé de faire ces travaux en se cachant ! Où en sommes nous rendus ? Cela au XXIème Siècle !
 Surtout ne pas toucher a ce principe salvateur ! et virer les commissions bidons. Vu les pressions commerciales giga. => c’est vital.

 zéro Principe de Précaution signifie France foutue, l’autoroute commercial ouvert à tous. Qui pourra ensuite s’opposer à la sainte liberté des marchés ?

ps, lire l’étau se resserre...
 
 deux s et deux r ... ça va faire mal. (ss & rr)

PS si vous voulez connaître mieux le dessous des cartes, rien ne vaut les sites alternatifs qui nous aident à voir la vérité*
 Voltairenet, reopen911, Egalité et Réconciliation, comité Valmy et bien d’autres.

*Mise sous le couvercle par nos médias qui nous "amusent" (amuser signifie : faire perdre son temps)

@M.I.

 Une vidéo excellente, "sur" son site alternatif incontournable.
Si vous ne voulez pas y faire un détour il suffit d’écrire par Google : Caroline Fourest, ou la destruction de la femme ! vous l’aurez direct.
 C’est tout à fait excellent, la machination médiatique FEMEN est parfaitement décortiquée et c’est drôle en +

*Alain Soral a une exigence de vérité, c’est ce que ne supportent pas beaucoup. En particulier J.R.