• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Niza

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 360 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Derniers commentaires




  • 5 votes
    Niza 13 mars 2013 17:51

    L’or fondu dans la bouche ça date de l’époque romaine avec Crassus
    « Rassasie-toi de ce métal dont tu es si avide ! »



  • 1 vote
    Niza 8 mars 2013 21:08

    Mais il ne faut pas inverser les causes et les conséquences : les oligarchie et leur dérives ne sont que les conséquences d’ une dérive systémique crée par nos sociétés.
    .
    Si on pose le problème en disant qu’ils exploitent les faiblesses des peuples, alors quelque part il y a forcement abus de faiblesse, quant a la cause et la conséquence, c’est l’œuf ou la poule pour moi, c’est un phénomène qui s’auto-alimente.(Faire mieux que mon voisin)
    .
    Bien sur elle est le vent qui souffle sur les braises. Mais la cause de l’ incendie c’ est bien que les braises soient à l’ air libre , car sans elles , le vent ne pourrait l’ allumer ...
    .
    Seulement une partie des braises est a l’air libre et les braises ne sont pas toutes exposés a l’air de la même façons, de plus, c’est un vent exceptionnel comme il n’y en a jamais eu auparavant dans l’histoire.
    .
    Et s’ ils existent , on est obligé de les désirer ? On peut résister au mimétisme.
    .
    Bien entendu,( je n’ai pas de smartphone), le problème est que cela procède par couche, d’abord avec les plus jeunes et plus influençable ensuite les "branchés", puis 
    la ménagère de moins de 50 ans et pour finir cela devient presque obligatoire pour un emploi (Facebook est de + en + demandé par les employeurs).
    .
    Je ne pense pas. Il a existé des sociétés qui ne se sont pas basé sur la possession matérielle et la consommation.

    Cette anti-valeur ( car le consumérisme s’ appuie et prospère sur la destructions de valeurs ) n’ émerge que dans des contextes déterminés , et notre contexte libéral est parfait !
    .
    Tant que ces peuples ignorent ce qu’est le consumérisme et qu’ils en sont protégé (Par isolement ou autre) c’est vrai, mais lorsque ces peuples entrent en contacte avec le consumérisme le virus se propage très vite, même en restant dans un système traditionnel. Le culte du cargo est un bon exemple de ce phénomène.
    Il existe bien sur toujours des peuples qui resistent encore et toujours a l’envahisseur mais ils se font de plus en plus rare, et finalement tres peu le font par choix.
    Pour le débat,de rien, je l’ai trouvé encore plus instructif surtout la deuxième partie que celui déjà publié sur agoravox


  • 3 votes
    Niza 8 mars 2013 19:51

    Bonsoir Machiavel,
    .
    Là on est au fond du problème. Moi je ne crois pas qu’il existe des entités capables d’implanter des désirs et des passions aux hommes. Comme je l’ai mit plus haut, la propagande ne crée pas le désir , le publicitaire ne fait que flatter la propension des masses à la facilité, à l’avide intérêt du gain et leur l’amour des commodités.

    .
    Si on est le fruit de notre environnement alors il faut admettre que la propagande a une part très importante dans le désir.
    .
    Pour les smartphones puisque c’était l’exemple, si on ne sait pas qu’ils existent on ne peut pas en avoir envie, comment sait on qu’ils existent ? Par les médias principalement ensuite par mimétisme culturel, ne pas avoir l’air d’un ringard etc , ce n’est au finale qu’une forme de marketing les américains appellent ça "keep up with the Joneses"
    .
    Comment expliquer la création d’une world culture notamment au niveau musicale, qui fait que dans les boites de nuits de la planète on passe a peu prés les même musiques, voir aussi le concept de nouveau marché apparu grâce au libérale-librtaire dont parlait Clouscard. (Cf cette excelent débat sur radio Galére).
    .
    Je suis d’accord qu’il y a une part de responsabilité chez les peuples et que c’est trop facile dire que c’est uniquement de la faute des élites, chacun doit faire son introspection au sujet du consumérisme, cependant il ne faut pas tomber dans l’excès inverse qui consisterait a rejeter la faute principalement voir entièrement sur le peuple.
    .
    On discutait hier qu’il était difficile de trouver une valeur universelle, le consumérisme pourrait bien en être une...



  • vote
    Niza 7 mars 2013 17:55

    Pour moi quand on s’émancipe de quelque chose, c’est pour être aliéné par quelque chose d’ autre

    C’est vrai mais généralement on s’émancipe pour quelque chose d’un peu moins aliénant, ou du moins, perçu comme moins aliénant, ça reste subjectif on est d’accord la dessus.
    Les besoins et les désirs varient fortement suivant les individus mais encore plus suivant le type de société (collectiviste individualiste), par exemple si l’on prend la pyramide des besoins faites par Maslow , étude faites sur de riches étudiants américains
    de Harvard , a part pour les besoins les plus basiques, ces besoins vont varier énormément suivant l’environnement, l’age,etc, si l’étude avait été faites sur les besoins des aborigènes d’Australie, les résultat aurait été très différent de celui des étudiants, ce que les 2 groupes considèrent comme liberté (ou liberté a conquérir) ne seront pas identique, voir pour certain besoins, diamétralement opposé.
    Les besoins des étudiants américains étant bien entendu et sans surprise beaucoup plus centré sur l’individu que sur la collectivité. D’où l’émergence de la mentalité laissez faire, chacun fait ce qu’il veut.
    Il n’y a donc pas d’universalisme possible a part pour les besoins les plus primaires. (Nourriture, eau, dormir) et même la c’est compliqué, cf les programmes d’aides alimentaire qui envoyaient des tonnes de lait dans des pays ou les gens étaient intolérant au lactose.
    Et tout cela ne tient pas compte des éléments qualitatifs, mangé ,oui, mais mangé quoi ? Des lasagnes au cheval pour les gens pressé ou des légumes du potager qu’il faut cultiver soi-même.
    Respirer parait basique mais beaucoup de citadins ne supporteraient pas de vivre a la campagne donc pour eux c’est l’air pollué des villes et pour les autres l’air pas si pur de la campagne, et pour le sexe, c’est avec Maité ? Quoique la, il y aura consensus du non, comme quoi c’est possible smiley



  • 1 vote
    Niza 7 mars 2013 14:52

    Parler d’émancipation tout azimut, et lutter contre le capitalisme n’a pas de sens , il faut aller au cas par cas ,mais ce n’ est que mon opinion.
    .
    Disons que l’émancipation de l’individu n’est possible que dans un système économique plus égalitaire, dans le système économique actuel, l’émancipation tout azimut est plus souvent source d’aliénation que d’émancipation effective.
    Les avantages qui vont avec le fameux "citoyen du monde" et un monde sans frontières est inexistant pour les gens qui gagnent le smic.
    Dans une moindre mesure, la liberté sexuel profite beaucoup plus aux puissants qu’aux pauvres.
    Tout comme l’interdiction de la prostitution, la prostitution de luxe étant pratiquement impossible a combattre contrairement a celle de rue, cela revient donc souvent a interdire la prostitution pour les pauvres, d’un point de vue des droits de la femme c’est un progrès mais cela reste une mesure injuste puisqu’elle n’est effective que pour une partie de la population.
    .
    Pour le cas par cas je suis tout a fait d’accord,c’est la qu’on voit que tout cela reste très théorique et qu’en pratique, les clivages peuvent être bien différent.
    Pour prendre un exemple moins sensible, disons que la pollution est une source d’aliénation et qu’il faut la combattre, le comment et sur quel critère est déterminant.
    Une proposition des verts qui avait pour but de diminuer la pollution en ville en interdisant les véhicules les plus polluants, se basait uniquement sur l’age de la voiture pour déterminé ce niveau de pollution, donc en pratique les gros 4x4 et Ferrari pourraient entrer en ville mais pas les 2cv, il est bien évident que c’est profondément injuste, très peu efficace d’un point de vue anti pollution et surtout complétement alimentant pour les plus pauvres, tout en ayant une cause qui elle est juste au départ, on peut être au final profondément injuste.
    .
    On peut aussi mentionner l’alcool qui suivant la dose peut être source d’émancipation mais aussi d’une forte aliénation si il y a dépendance et la ça devient encore plus compliqué, on voit aussi tout les problèmes du répressif lorsqu’on considéré que l’alcool est trop aliénant, cela donne la prohibition (voulue en partie par les féministes) et donc la mafia et au final cette mafia devient plus nocive que ce qu’on était censé combattre au départ et ne fait même pas disparaitre le problème puisque l’alcool est toujours disponible.

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité