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Rounga

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  • Premier article le 25/01/2014
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Rounga Flifuche 5 juin 2012 11:11

    Je ne la vois pas comme ça, je ne pense pas que la majorité des français la voient comme ça non plus et heureusement.

    Ah, parce que tu es le Système ?



  • 3 votes
    Rounga Flifuche 5 juin 2012 11:09

    Il constate simplement que les communautés existent de facto. Dans son livre il explique que le mensonge républicain a consisté à faire croire qu’il n’existait aucun intermédiaire entre l’individu et l’Etat : pour la République, il n’y a aucune communauté, mais uniquement des individus citoyens. Il ne condamne pas cette idée en théorie, il la défend, même. Mais Soral est un pragmatique, il part du réel et considère ce qu’il est possible de faire avec le réel. Or, pour lui, la réalité, c’est que la République, au nom de l’idéal a dissout tous les corps intermédiaires qui servaient de médiation entre les individus et l’Etat, ce qui était conforme au projet, mais, et c’est là le problème, elle a conservé des intermédiaires puissants basés sur l’idéologie, la religion, ou la race. Le résultat de cela, c’est qu’à la base de la population, on trouve uniquement des individus isolés, privés d’intermédiaires entre eux et l’Etat, ou alors réunis en communautés faibles, dominées et sans poids politique, et au sommet, une espèce d’oligarchie constituée d’individus qui fréquentent les mêmes lieux, qui partagent la même idéologie mondialiste, pratiquent la même religion, se considèrent comme faisant partie d’une même race, etc. La réalité du mensonge républicain, c’est donc pour Soral la domination du petit peuple par cette oligarchie. A partir de cette analyse, il y a deux solutions :
    -soit on détruit l’oligarchie pour appliquer à la lettre la promesse républicaine, mais cela passera forcément par la violence car un réseau ne se démantèle pas parce qu’on lui demande gentiment
    -soit on crée des contre-réseaux communautaires capables de contre-balancer le pouvoir de l’oligarchie et d’amener un peu plus d’équilibre dans la société
    Soral opte pour la deuxième solution, car il estime que c’est la plus réaliste et la moins violente. en effet, comme le sentiment communautaire existe quoi qu’on en dise entre personnes de même origine, il propose d’exploiter ce sentiment pour faire des communautés existantes des vraies entités politiques et non dominées.

    Voilà, comme quoi l’analyse de Soral est plus subtile que ce que les crétins d’ici veulent bien le comprendre. Comme il y a des cons qui, encore aujourd’hui, parlent du "bon sauvage" de Rousseau, il y aura encore des cons, dans 200 ans, qui parleront encore du "racialisme" de Soral.



  • 5 votes
    Rounga Flifuche 5 juin 2012 09:46

    Pulvard fait juste son boulot ,le racialiste qui voit avant tout une noire avant de voir une individualité propre, une subjectivité, c’est d’abord l’ethno différentialiste Soral

    En fait, quand il parle d’elle en tant que "négresse de maison", il ne parle pas de la manière dont il la voit elle, mais de la manière dont le système la voit en s’en sert pour propager une idéologie mondialiste et sioniste sous des atours de progressisme et de faux positifs. En d’autres termes, c’est le système qui est racialiste, et Soral dénonce l’hypocrisie cachée derrière ce racialisme "positif" (ce racialisme qui déclare que c’est un progrès en soi quand une femme accède à un poste haut placé, et que c’est un progrès au carré si cette femme est issue de la fameuse "diversité").
    Donc attention à ne pas prendre la chose à l’envers : ce n’est pas parce que Soral dénonce le racialisme inconscient de l’idéologie dominante que c’est lui le racialiste.



  • 1 vote
    Rounga Flifuche 5 juin 2012 09:37

    Déjà il faut comprendre que vouloir réconcilier juifs catho musulman c’est déjà entériner la véracité de ces groupes en france, donc faire le jeu du communautarisme anglo saxons et faire le jeu de la division.

    Donc en gros, tu dis que les juifs, les cathos et les musulmans sont des catégories qui n’ont pas d’existence ? La réconciliation serait donc impossible puisque la division est imaginaire ?



  • 22 votes
    Rounga Flifuche 4 juin 2012 16:07

     nilasse, il est nul, ton lien. Il n’y a qu’à lire trois lignes pour s’apercevoir que ce ne sont que des amalgames foireux reposant sur des citations tronquées, hors-contexte, et comprises à l’envers.

    Un exemple criant :

    Soral affirme, à propos de la police et de l’armée : « il y a très longtemps que ces gens-là n’ont plus aucun pouvoir en France, on peut leur cracher à la gueule tant qu’on veut » et qualifie les flics de « pauvres fonctionnaires qu’ont le plus haut taux de suicide de France ». Mais il affirme par ailleurs «  nous sommes dans un régime totalement policier et totalitaire […] on est dans une société intégralement policière et dégueulasse ». La France, « régime totalement policier et totalitaire »… où les flics «  n’ont plus aucun pouvoir » depuis « très longtemps » ? La contradiction est évidente, mais Soral espère probablement séduire les jeunes de banlieue et une partie de l’extrême-gauche avec sa rhétorique pseudo-libertaire et anti-keuf, tout en rassurant ses soutiens (et souteneurs) d’extrême-droite avec un discours plus traditionnel sur le thème de l’autorité qui n’est plus respectée. (Au passage, nous ne saurions trop conseiller aux partisans d’Alain Soral de tester la validité des assertions de leur Grand Chef en « crachant à la gueule » de tous les flics qu’ils croisent. Avec un peu de chance, à force de coups de tonfa et de GAV, ils deviendront d’authentiques révolutionnaires.)

    Quand on a bien écouté Soral, on sait que quand il dit « nous sommes dans un régime totalement policier et totalitaire […] on est dans une société intégralement policière et dégueulasse », il ne désigne pas le pouvoir des policiers, mais de la police de la pensée : la société est policière car la moindre pensée dissidente est clouée au pilori, tue, niée, ridiculisée. C’est le pouvoir des chiens de garde (les mêmes que Serge Halimi) qui est visé, pas celui des policiers en uniforme qui sont chargés de protéger les citoyens et d’arrêter les criminels.
    Par ailleurs, il est évident, quand on a un peu de jugeotte, que quand il dit "on peut leur cracher à la gueule", il ne parle pas au sens propre, mais au sens figuré : cracher sur les flics en les réduisant systématiquement à la figure du facho stupide et violent, qui rentre bourré le soir et qui tape sa femme. Il suffit de regarder les caricatures de la presse satirique d’extrême-gauche pour comprendre de quoi il parle.
    Et tout le reste est du même tonneau. On peut reprendre intégralement, paragraphe par paragraphe, et montrer que tout est faux, mais ce serait très long. Pourtant, nul besoin d’être un génie pour se rendre compte que ce travail d’"analyse" est de la falsification pure et simple. Tu ne t’en es pas aperçu, tu trouves que la critique est "excellente", tires-en les conclusions.

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