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Affaire Merah : "Putain je suis dégoûté que ce soit pas un nazi". - Nicolas Chapuis, journaliste politique au Nouvel Observateur.

Traduction de la 1ère vidéo en français

 Ha ! Bruno Roger-Petit... En médiocrité arrogante journalistique il s’impose, un maître-étalon en somme.
 A son pedigree déjà très fourni de roquet de garde omniprésent, on peut ajouter ses aboiements de rédacteur aux grandes heures du défunt "Le Post.fr" (devenu Huffington Post) qu’il avait quitté la queue entre les jambes à force de se faire tailler les oreilles en pointe par moult commentateurs, en jappant que non, vraiment "...le Post a été envahi par une colonie de fachos et réacs insupportables qui ont pollué ce site...", retournant à la niche du NouvelObs.fr où l’os à ronger est moins amer. Il avait alors pondu un ultime et larmoyant billet d’adieu, se vantant au passage de son fait d’arme mensonger du blog "Mitterrand 2007" et des forces de (son) l’esprit qui vaut son pesant de Friskies. J’avais à l’époque très humblement saisi l’occasion de cet éloge onanistique pour lui écrire tout le bien que je pensais de son départ vers d’autres cieux rédactionnels et fut aussitôt modéré par ses soins (un mail du Post.fr me confirma, ultime honneur, qu’il m’avait en personne censuré) attestant en cela que j’avais visé juste. Et comme sur internet rien ne se perd tout se recycle, je ne puis résister à la tentation de rebalancer ce modeste pamphlet qui, loin d’insulter, de calomnier ou d’appeler au meurtre, a du moins le mérite - j’ai la faiblesse de le croire - de faire rire mais peut être aussi de corroder quelque peu l’envahissante vanité de ce triste sir médiatique.
 "A la fin de l’envoi, je touche !"

Commentaire à l’article de Bruno Roger-Petit du 16/05/2011 sur LePost.fr :

 "Félicitation monsieur Roger-Petit, je suis content que vous vous remettiez à votre place. En disant cela, je ne songeai pas à votre obédience politique mais plutôt à votre faculté de penser en biais : au NouvelObs vous serez enfin synchrone.
Toujours fidèle à vos méthodes éprouvées - n’oublions pas que vous avez été prof pour journaleux boutonneux - pour quotidiens à grand tirage (idéal pour la cheminée donc) : titres racoleurs traitant de sujets creux par des articles insipides avec, je vous le conçois c’est votre touche personnelle, ce raisonnement si tordu qu’il vous permet de donner consistance à votre vacuité conceptuelle, pour in fine démontrer au fil de vos brillantes analyses que vous aviez, depuis le début, encore raison.
 Ha ! Vraiment, vous êtes impayable ! (Je plaisante, on sait très bien que non).
 Enfin, ne voyez là aucune méchanceté dans mes propos car je n’en décèle aucune dans vos "articles", seule votre bêtise est proverbiale et le NouvelObs sera l’écrin de sa consécration. Allez, bon vent à bâbord et prenez garde à la vase."