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Commentaire de therasse

sur Demorand : fort avec les faibles, faible avec les puissants ?


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therasse 8 janvier 2011 09:45

Une illustration de plus de la soumission, de la complaisance, du conservatisme, de la complicité, de la servitude, de l’opportunisme, du putanisme des plumitifs et des narcisses qui ne cessent de relayer la parole de César et d’étouffer toute vérité susceptible de contrarier les ambitions des puissants, fussent-ils corrompus jusqu’à la moelle.


La succession non exhaustive de substantifs ci-dessus permettra à chacun de choisir celui qui lui collera le mieux à la peau, car les motivations de chacun doivent probablement correspondre à des registres différents quoi que voisins. Mais certains journaleux, les plus infâmes, sont à l’évidence des cumulards. 

Je vous invite à écouter attentivement les sornettes qu’ils vous racontent que ce soit en matière de 11 septembre, de grippe AH1N1, d’affaires de type EADS, Woerth (un collectionneur), Karachi, appartement de Neuilly, etc... ou qu’ils taisent, telle l’affaire des 191 prostituées ou disparues de Toulouse, du fichier de la honte où figurent les photos de 10000 enfants victimes de pédophiles, fichier qui, par ailleurs, est passé entre les mains de plusieurs ministres de la justice ; écoutez-les sans jamais vous départir de votre esprit critique et de votre bonne foi ; écoutez-les et vous ne pourrez plus vous informer autrement que par Internet, cette toile où il vous sera toujours possible de croiser les infos, et notamment celles de ces journalistes, les authentiques, pestiférés de la télévision d’état, et qui n’ont trouvé que ce moyen de se faire entendre.

Ces derniers jours, on a appris que la moitié des médicaments accessibles actuellement sont inutiles, qu’un nombre significatif d’entre eux sont dangereux (entre 50 et 100). 

Qoui ? Du jour au lendemain, plus d’une cinquantaine de "remèdes" deviendraient subitement nocifs ... en même temps ?

A moins qu’il s’agisse, là également, d’une information longtemps sue et longtemps tue grâce à une complicité politico-médiatico-pharmaceutique et dont un chroniqueur, un rien plus valeureux que la meute de ses confrères, se soit un jour confessé dans un débat en direct et que dès lors, l’omerta n’avait plus de sens. 

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