DSK lié à son standing et à ses frasques dans l’escalier : voilà un président moderne, un atlantiste distingué, copain d’un autre atlantiste qui se distingue dans le marasme français et nommé par lui au FMI.
Et un Gerra qui singe, marionnette des médias singeant les marionnettes politiques. Le spectacle est prêt pour distraire les masses populaires avec la complicité des médias sans interactivité. Gerra ne descend pas du singe, il s’est arrêté à la singerie et on prend ça pour du talent au pays de Molière.
Et les masses populaires s’esclaffent à la triste caricature de leur malheur.
Le problème, c’est que les électeurs vont se trouver acculés à voter pour le moindre mal et mettre au pouvoir ce nanti contre Marine le Pen, scénario très probable.
Et la révolution utile n’aura pas lieu. L’enjeu reste aux mains des politiques, les votants entérinent car ils sont enterrés.