Principe économico-politique pour être plus précis. Le recours à l’immigration a été un excellent moyen de diviser pour régner ces dernières décennies en Europe. A un certain niveau économico-politicard ça doit bien faire partie du jeu de façon globale, cette recette très anglo-américaine dans laquelle s’engouffrent tous les idiots-utiles.
Mais peu importe le projet supérieur (même si en France a été particulièrement visible au niveau des stratégies politiciennes Mitterrand/Sos Racisme & co.) : nier que l’immigration ait eu pour effet notable la division du corps social (multiplication des catégories : classe sociale, communauté d’appartenance, religion, histoire etc. = autant de façon de manipuler l’électorat et de casser les alliances), le rendant ainsi politiquement inopérant relève dans tous les cas de l’idéologie et de l’aveuglement.
On approche le point de non retour.