L’étude de l’histoire des idéologies me suffit pour les reconnaître selon la forme de leurs discours. C’est évident que c’est un discours codé, ésotérique. Ca parle de révélation, de lumière, d’obscurité, ...etc. C’est mystique, manifestement.
 
Or, les sectes gnostiques, comme la Franc-maçonnerie, qui ont pris le contrôle de nos sociétés, et donc de toute la puissance engendrés par nos corps sociaux organisés, n’ont eu de cesse de vouloir les placer sous tutelle des oligarchies mondiales, et ils y sont en effet parvenus.
 
Donc, en effet, je n’ai aucune confiance dans les mouvements qui tiennent ce genre de discours. Personne ne sait qui ils sont, mais ils ont de l’argent pour réaliser une propagande mondiale...
 
Et puis la société des anonymous, ça ressemble bien trop à "société anonyme", ces structures économico-juridiques qui permettent aux oligarchies d’agir dans le secret. 
Il me paraît impossible que des rebelles puissent choisir un nom aussi con.
 
Mais le plus démonstratif est encore que toutes leurs interventions sont émaillées de références à de gros navets hollywoodiens, ce qui montre le niveau de soumission au monde de la consommation qui est le leur... Pourquoi donc se référer au show-bisness de la côte-ouest Etats-unienne pour fomenter une révolution ? Depuis quand Hollywood, ce symbole du capitalisme, est-il passé dans le camp révolutionnaire ?
 
De plus, si je me réfère au nom du projet "Mayhem" :
ça se réfère à un groupe de Black métal Norvégien dont le leader se faisait appeler du pseudonyme « Euronymous » (de Eurynome, antique démon, prince des morts). Je te laisse te renseigner sur le sujet.
 
Nous sommes donc bien chez les aficionados des doctrines sataniques...
 
Mon intuition que ce discours correspondait à de la gnose luciférienne se voit donc confirmé par le nom du projet. Comme quoi, faire de l’histoire des idées n’est pas inutile...
 
Les mots n’ont aucun pouvoir, ce n’est que du blabla pour embrouiller les esprits.
 
C’est d’ailleurs à ça que sert la gnose. C’est pour embrouiller les esprits et les rendre débiles (et donc sans réaction face à l’injustice).