Je crois que ce que tu essaies d’ exprimer est assez profond requete et je vois très bien ou tu veux en venir.
1. Avoue qu’ on entend tout de même moins ceux qui nous gouvernent traité de fasciste ... une fois je l’ ai entendu sur Chevenement , mais je crois que c’ est précisément parce que c’ est un marginal politique .
2. En ce qui me concerne , la volonté de contrôler les meurs des autre relève plutôt du totalitarisme que du fascisme ( si on redéfinit bien les " catégories " ).
Mais je constate aussi que les plus totalitaires aujourd’hui se trouvent à gauche , selon cette même définition.
3. Pour la souveraineté je crois aussi qu’ il y’ a un problème de définition , moi je la comprend à la manière dont Roussseau la définit ,càd la souveraineté populaire , et la plus grande entité dans laquelle peut s’ exprimer cette souveraineté est selon moi la nation ( ce qui est déjà très difficile pour les nations de plus de 10 million d’ habitants ).
Mais dans le monde tel qu’ il est aujourd’hui, si on est pas souverain , ce sont les plus grands détenteurs du capital qui le sont , ce qui est le cas aujourd’hui !
4. Le fond de ce que tu exprimes c’ est qu’ on a pas à faire le choix entre morale et marché . J’ aimerai comprendre , quelle sont les autres alternatives ? Peut on réellement être amoral ( et non immoral ) ? Car même les plus aliénés au consumérisme ont aussi une morale ( que l’ on peut selon le cas qualifier de moral ou d’ immoral )...