la législation sera rigoureuse au début... le temps qu ils changent la mentalité de la prochaine génération.
Il y a un demisiecle, la population n était pas du tout pret a accepter l avortement, mais petit a petit on a fait accepter l idée , en arguant notamment l argument de la femme violé qui ne désire pas garder le fruit de cette union malsaine.
Comment lui refuser ce droit ?
Mais actuellement l avortement est devenu un vulgaire contraceptif.
et dans le futur, qu elle sera l évolution ? l avortement légal jusqu aux 9 mois de grossesse ? le droit d abandonner son enfant au nom de la liberté de vivre comme bon lui semble ?
Le sujet est délicat, comme tu le dis.
la solution est peut etre un maintien de l interdiction avec une dépénalisation au cas par cas.
Une sorte de laxisme volontaire.
c est hypocrite , mais c a a l avantage de garder le taboo, et de ne pas rentrer dans d autres déviances morales.