"La pierre et le sabre" est un de mes romans favoris.
Pourtant il est parfois difficile pour un occidental de comprendre certains comportements, en particulier celui du héros quand il tue l’héritier d’une maison d’arts martiaux qu’il a défié (un gamin tout juste capable de porter une épée) . En revanche j’ai pu saisir un peu mieux ce qui touchait à l’escrime. A un moment un vieux maître dit à Takezo-Musashi qu’il est trop fort. Ce que Musashi ne comprend pas sur le coup. Ca m’a rappelé mon vieux maître d’armes (d’escrime à la française, je précise) qui répétait sans cesse : "Trop de force, toujours trop de force !" lorsqu’il m’enseignait.