@edzez

vous êtes le faux cul qui veut fait vivre les femmes au moyen âge arabe alors que lui il profite de l’ère de l’iphone. Votre problème c’est que vous voulez le beurre et l’argent du beurre, le genre d’individu qui a le cul sur deux chaises. Vous voulez la modernité qui n’est possible que grâce à l’émancipation de la tutelle de la religion, en même temps vous vous soumettez à la religion sans critique.
Vous arrangez tout à votre guise,
les femmes porte le haik, c’est une sorte de burqa ou niqab, le résultat est le même, le seul moyen pour la femme d’accéder à l’espace public, ce dernier lui est interdit. Vous êtes des hypocrites, vous dites la moitié de la vérité ou vous l’arrangez pour l’enjoliver.
Toujours est-il, que le haik est un morceau de tissu, et n’a rien avoir avec le niqab moderne façon salafiste. On dirait qu’ils ont des stylistes.
voici des femmes libyennes portant le même vêtement traditionnel, on dirait des sauvages, complètement affolées et apeurées,
ce reportage montre cette notion de l’exclusion de la femme de l’espace public qui est un domaine pour l’homme,
à partir du 05:59
http://www.rts.ch/archives/tv/information/continents-sans-visa/3468765-la-libye-avant-kadhafi.html

beaucoup de gens n’ont aucune mémoire ou peu, ne connaisse pas leur histoire sinon des images de carte postale, ou s’arrangent même avec leur souvenir et leur mémoire pour que cela colle à leur fantasme, d’où des témoignages purement subjectifs et biaisés
vous nous racontez un islam à l’eau de rose qui n’a rien avoir avec la réalité, beaucoup plus sordide. N’oublions pas que derrière le voile ou la burqa il y a l’individu, donc capable de pire comme du meilleur, et ce n’est pas l’habille qui fait le moine.
C’est quand même étrange de dire il suffit de mettre un foulard sur la tête et me voilà sainte comme si le foulard est une onction de sainteté.
peu ose soulever les contradictions et les superstitions, comme les mensonges d’un tel vêtement, on n’entend que le bla bla bla sur la vertu, la pudeur, et l’obéissance à dieu, et tout cela n’est que foutaises