L’ aspartame est connu depuis le milieu des année 80, pour affecter le développement intra-utérin chez le rat mais chez l’humain aussi, voire à provoquer des formes de tumeurs (selon dose et durée d’exposition) année 90 et 2000.
en 2010, une étude danoise montre un lien entre sa consommation et la durée de la grossesse.
En diabétologie, l’aspartame est connu pour induire une "réponse céphalique" cad induire un pic d’insuline en la présence de "sucre" dans la bouche, sauf que ce n’est pas du sucre, cet effet n a pas était analysé sur le long terme hélas. tout cela est référencé sur des sites scientifiques.
Soit les agences sanitaires n’engagent que des incapables, des corrompues, ou les deux.