C’est sur toug, et de Mitterand à un de ses grands admirateurs, il n’y a qu’un pas...
SON MENTOR
Jean-Luc Mélenchon voue une réelle
admiration à François Mitterrand. Ses talents de stratège utilisés pour
fédérer l’Union de la gauche sur la base du Programme commun durant les
années 70 l’ont impressionné. Jean-Luc Mélenchon a été par la suite l’un
des rares à être admis dans l’intimité de l’ancien président de la
République en décembre en 1995, quelques semaines avant sa mort. Il
raconte que François Mitterrand lui aurait confié sur son lit de mort :
"ne cédez jamais, marchez votre chemin". Preuve de son attachement à
celui qu’il surnommait "le Vieux", Mélenchon lui a dédié une vitrine
dans son bureau, au siège du Parti de gauche, décorée d’une photo où
posent les deux hommes.
Jean-Luc Mélenchon appelle à la candidature de François Mitterrand en septembre 1987
Allez, la morale de l’histoire c’est que Mélenchon admire aussi Mitterrand parce que ce dernier a été capable de phagocyter le PC de Marchais et de se faire élire par les cocus de la classe ouvrière. Et aujourd’hui celui qui finit le travail de vampirisation, c’est notre JLM national : "Partez pas chez les nazis du FN les ouvriers !! Venez voir le FdG et votez Hollande au deuxième tour..." Elle est pas belle la vie ?...
Mélenchon qui aimait tant Chavez mais pas Ahmanidejad, Poutine ou Assad, tous ces anti-impérialistes sérieux, d’horribles dictateurs que le commandante fréquentait. Le type est tellement grossier qu’il conchie également le M5S de Grillo en Italie, comme tous les gauchistes niais qui voient dans ce mouvement une possible résurgence du populo-fâââchisme italien ... Mélenchon, ou la plus grosse imposture de la politique française depuis Daniel Cohn-Bendit...