Philippe Torreton avait violemment critiqué Depardieu drapé dans ses idéaux de gôôôôôôôôôche, Fabrice Luchini a fait son coming out d’homme de droite qui aimerait bien être de gôôôôôôôôôôôche mais qui y a renoncé car la tache est surhumaine selon lui. Alain Delon n’a jamais caché qu’il était à droite, enfin que Dieu est à la droite de Delon. Brigitte Bardot sous ses airs de protectrice des animaux est une misanthrope de droite.
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Mais en effet, dans le showbusines, c’est montrer patte blanche pour entrer et rester dans le club que de se prétendre de gôôôôôôôôôôôôôôche, c’est pas nouveau. D’ailleurs la sensibilité, la créativité, les bons sentiments, ne peuvent qu’être de gôôôôôôôôôôôôô^che, jamais de droite.
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L’imposture bien pensante du bal des faux culs humanistes devant sodomites derrière a fait une OPA sur les gentils et ceux qui en méritent le titre.
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Gauche/droite dans ta face, c’est un concept non seulement con sur les bords mais même carrément au milieu. Bayrou, tiens, encore un François, n’y échappera pas, tout centriste qu’il prétend être.
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Tout ça c’est obsolète, le monde se divise en deux catégories, les faux culs et ceux qui le sont le moins possible.
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Car dans l’art de l’hypocrisie, il faut parfois se montrer diplomate si on ne veut pas connaître les joies de l’ermitage et de la solitude.
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La frontière est fine entre hypocrisie et diplomatie, aussi fine qu’un string de brésilienne. Entre deux fesses, protégeant la raie publique mais pas à l’abri des traces de pneu.