• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


Commentaire de erQar

sur Histoire des relations publiques (2)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

erQar erQar 24 janvier 2014 18:30

maQ
-
Ce documentaire est indigeste dans la forme mais excellent sur le fond. Y a que toi pour proposer des articles de fond smiley
-
J’ai apprécié l’approche de Marcuse :
ces forces ne sont pas forcément violentes ou mauvaise et menait vers une vie schizophrénique et générait dans la société de l’agressivité.
-
je me rappelle d’une approche psychanalytique concernant un deuil , j’ai l’impression que toutes les personnes vivent cela mais en remplaçant le deuil par l’impossibilité d’acquérir la marchandise.
-
1. La négation (" C’est impossible ! ")
Dans le cas d’une séparation ou de la perte d’un proche, tu peux avoir tendance à nier ce qui arrive. Tu ne veux pas croire que c’est vrai. Dis-toi qu’il est normal d’être sous le choc et de ne pas avoir d’émotions sur le coup.

2. La colère (" L’autre n’avait pas le droit de partir ! ")
À ce moment, tu ressens beaucoup de colère, de frustration, d’injustice et d’incompréhension. Tu perçois le départ ou la perte de l’autre comme une trahison et un abandon. Tu peux avoir tendance à déplacer ta colère sur tes amis, ta famille.
Être en colère, c’est normal. Par contre, l’agression verbale ou physique d’autres personnes n’est pas un moyen acceptable pour exprimer ta colère. En parler, pleurer de rage : voilà qui est acceptable !


3. La culpabilité (" C’est trop difficile, je ferais n’importe quoi pour que l’autre revienne ! ")
À cette étape, tu espères que l’autre reviendra, tu hésites, tu te sens coupable. Il peut t’arriver de regretter beaucoup de choses, de croire que tu as tous les torts (exemple : " C’est de ma faute, j’aurais dû lui dire avant que je l’aimais… "). Mais la culpabilité ne changera rien à la situation. Tu n’as du pouvoir que sur toi-même. Pour cette raison, il est important que tu penses à toi et que tu regardes droit devant.

4. La tristesse (" Je n’ai plus le goût de rien… ")
Tu es triste, en proie au malheur et tu pleures beaucoup. Tu as l’impression d’avoir perdu une partie de toi-même, et c’est normal. Tout est une question d’équilibre ; il est important de t’accorder du temps pour pleurer, mais tu dois aussi continuer tes activités afin de te changer les idées. Tu ne dois pas perdre de vue toutes les personnes que tu aimes et qui sont encore autour de toi.

5. L’acceptation (" J’y pense encore parfois, mais je m’en sors. ")
Enfin, tu acceptes la perte de l’être cher. En l’acceptant, tu es capable de garder les beaux moments mais aussi les moins bons. Tu commences à avoir plus confiance en toi, tu te sens mieux et l’avenir ne semble pas aussi noir qu’avant. Tu as de nouveaux rêves, tu es capable d’avoir du plaisir. Tu constates que cette épreuve peut te renforcer.

-

Je ne sais pas si c’est pertinent ?


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès