maQ
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Ce documentaire est indigeste dans la forme mais excellent sur le fond. Y a que toi pour proposer des articles de fond
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J’ai apprécié l’approche de Marcuse :
ces forces ne sont pas forcément violentes ou mauvaise et menait vers
une vie schizophrénique et générait dans la société de l’agressivité.
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je me rappelle d’une approche psychanalytique concernant un deuil , j’ai l’impression que toutes les personnes vivent cela mais en remplaçant le deuil par l’impossibilité d’acquérir la marchandise.
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1. La négation (" C’est impossible ! ")
Dans le cas d’une séparation ou de la perte d’un proche, tu peux avoir
tendance à nier ce qui arrive. Tu ne veux pas croire que c’est vrai.
Dis-toi qu’il est normal d’être sous le choc et de ne pas avoir
d’émotions sur le coup.
2. La colère (" L’autre n’avait pas le droit de partir ! ")
À ce moment, tu ressens beaucoup de colère, de frustration, d’injustice
et d’incompréhension. Tu perçois le départ ou la perte de l’autre comme
une trahison et un abandon. Tu peux avoir tendance à déplacer ta colère
sur tes amis, ta famille.
Être en colère, c’est normal. Par contre, l’agression verbale ou
physique d’autres personnes n’est pas un moyen acceptable pour exprimer
ta colère. En parler, pleurer de rage : voilà qui est acceptable !
3. La culpabilité (" C’est trop difficile, je ferais n’importe quoi pour que l’autre revienne ! ")
À cette étape, tu espères que l’autre reviendra, tu hésites, tu te sens
coupable. Il peut t’arriver de regretter beaucoup de choses, de croire
que tu as tous les torts (exemple : " C’est de ma faute, j’aurais dû lui
dire avant que je l’aimais… "). Mais la culpabilité ne changera rien à
la situation. Tu n’as du pouvoir que sur toi-même. Pour cette raison, il
est important que tu penses à toi et que tu regardes droit devant.
4. La tristesse (" Je n’ai plus le goût de rien… ")
Tu es triste, en proie au malheur et tu pleures beaucoup. Tu as
l’impression d’avoir perdu une partie de toi-même, et c’est normal. Tout
est une question d’équilibre ; il est important de t’accorder du temps
pour pleurer, mais tu dois aussi continuer tes activités afin de te
changer les idées. Tu ne dois pas perdre de vue toutes les personnes que
tu aimes et qui sont encore autour de toi.
5. L’acceptation (" J’y pense encore parfois, mais je m’en sors. ")
Enfin, tu acceptes la perte de l’être cher. En l’acceptant, tu es
capable de garder les beaux moments mais aussi les moins bons. Tu
commences à avoir plus confiance en toi, tu te sens mieux et l’avenir ne
semble pas aussi noir qu’avant. Tu as de nouveaux rêves, tu es capable
d’avoir du plaisir. Tu constates que cette épreuve peut te renforcer.
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Je ne sais pas si c’est pertinent ?