Les thèmes de protestation du Jour de Colère concerne
directement le peuple victime de ce gouvernement d’occupation.
Seul le Jour
de Colère et son collectif de 50 organisations de la société
civile ose faire la liste des mécontentements de nos concitoyens :
La colère
fiscale est le premier d’entre eux.
La faillite
éducative est le deuxième thème de colère. La
catastrophique réforme Peillon est un écran de fumée pour masquer
l’échec de l’éducation nationale, la dictature des syndicats
d’enseignants et le poids de l’idéologie dans les programmes
scolaires.
La destruction
de l’emploi, le chômage de masse, le carcan bureaucratique qui
entrave les entreprises et les charges qui les écrasent sont un
sujet de colère grandissant. Les faillites industrielles et les
suppressions d’emplois menacent la survie économique de la France.
Qu’ils soient chômeurs, artisans, commerçants, paysans, tous les
membres actifs de la vie économique sont exaspérés et vont pouvoir l’exprimer ce
dimanche.
La politique
idéologique du gouvernement à l’égard des familles est
en décalage complet avec les préoccupations des français. Les
priorités des familles n’ont rien à voir avec les lubies de
Belkacem ou les fantaisies de Taubira. Alors que la famille est le
premier lien social et le dernier rempart contre la précarité, le
gouvernement mène une politique qui détruit cette solidarité. Le
Jour de Colère est un jour pour exprimer cela.
La souveraineté
nationale a été bradée et François Hollande se
couche devant les technocrates de Bruxelles. L’identité nationale
est bafouée par des « experts »,
qui réclament le remplacement de notre culture, de nos lois et nos
mœurs. Les convictions des croyants sont insultées jusque dans
leurs lieux de culte par les Femen payées sur nos
impôts. La liberté d’expression est traquée partout où elle
subsiste. Le Jour de Colère va nettoyer tout ça.
Les sujets
de colère sont si nombreux qu’on ne peut les citer tous, mais ils
seront exprimés ce dimanche 26 janvier