"Ensuite je suis allé sur "à propos" pour essayer de savoir à qui on avait affaire.
Vous prétendez sur cette page respecter la charte de "Munich" : on y trouve notamment : 
- Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents.

Alors quand je lance cette vidéo et que celle-ci commence par une succession d’extraits tronqués de vidéos de Manuel Valls ??? N’est-ce pas un viol manifeste de cette charte ?

- Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ;

Cette vidéo n’est-elle pas de la pure propagande anti-valls, ou même encore une vidéo de propagande complaisante vis à vis de ceux qui sont accusés d’antisémitisme par le dit Valls ?"

La satyre et l’ironie sont des moyens d’expression largement utilisés durant toute l’histoire de la presse écrite (en particulier par le dessin mais pas seulement). L’engagement à "ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents" ne peut pas être entendu au sens littéral lorsqu’il s’agit de documents à vocation caricaturale clairement présentés comme tels. Cela ne vous est-il jamais venu à l’esprit en regardant un dessin de presse ??

Or, de même qu’il était important de caricaturer Hitler ou Mussolini pour dénoncer leur arrogance et la dangerosité de leur folie, la presse libre doit aujourd’hui mettre en avant la grossière stupidité et les obsessions névrotiques de certains petits entrepreneurs de la politique dont les ambitions personnelles conduisent la République dans le gouffre obscur de la division nationale. Valls, dans le vain espoir de se constituer une carrure de présidentiable en forme de Zorro providentiel, est en train d’attiser la haine contre les personnes de confession juive qui dans leur grande majorité ne lui demandent rien et se trouvent très bien considérées en France. Le montage d’AIL n’est pas seulement drôle : il exprime quelque chose de vrai et d’important. Il faut le faire circuler.