Il y avait une phrase de Diana Johnstone qui m’a le plus marqué :
Si l’Europe n’est plus le toutou des USA, les USA perdent leur force, ils ne représenteraient plus qu’eux-même et non le monde occidental.

L’Europe se fait piller par les USA grâce à la force que lui donne l’Europe.
Là on peut dire que l’UE et nos politiques travaille contre nos intérêts. On donne le bâton qui sert à nous taper dessus.

Economiquement parlant :

1. 1)Il y a des ressources suffisante, on négocie d’autant plus que le dollars biaise un peu.
2. 2)On voit les ressources devenir plus difficile à accaparer, on installe le chaos qui améliore le rapport de force pour négocier les ressources. 
3. 3)Comme par le passé les guerres ont fortement enrichi les USA, c’est une option à envisager. Une guerre si possible hors territoire US, quoi que 100 millions de personne en âge de travailler et qui ne bossent pas et qui ne bosseront jamais vu la robotisation des taches, un peu de local ne serait pas impossible.

Un hiver nucléaire :
Je réside sous les tropiques, mon problème c’est que j’aime les cerises et un cerisier dans mon jardin c’est pas possible, trop chaud et humide. Il y a des cerisiers sur l’ile mais à 1200m d’altitude.
En regardant les modélisations du GIEC, je me suis aperçu que dans les régions tropicales surtout à proximité d’un océan l’impact n’était pas violent. Du coup j’ai regardé les modélisations en cas d’hiver nucléaire, c’est beaucoup moins précis mais la tendance est la même, pas trop violent.
Avec un hiver nucléaire j’aurai des cerises dans mon jardin, les cerisiers suivraient en altitude le changement climatique.
Pour le peu que l’on ait de l’argent (beaucoup si possible), que l’on anticipe un peu. On peut atténuer le coté catastrophique de la chose et envisager une guerre nucléaire limite le coeur léger.