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Commentaire de njama

sur Sclérose en plaques : l'avancée des recherches


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njama njama 14 mars 2016 12:24

suite

La corrélation entre entre le nombre de doses de vaccins HB vendues en France - 20 millions de personnes vaccinées contre l’HB, en un laps de temps concentré sur quatre années, de 1994 à 1997 - et le nombre de SEP post-vaccinales signalées chaque année (voir graphique très significatif dans le PDF lien ci-dessous) est évident, suffisamment pour être inquiétant !

Le REVAHB « Réseau Vaccin Hépatite B » [association, de type loi 1901, à but non lucratif, a été créée en février 1997 par des personnes atteintes d’effets secondaires graves apparus dans les suites d’une vaccination contre l’Hépatite ...] citait ici sur Agoravox en décembre 2014 "Une nouvelle étude fait le lien entre vaccin hépatite b et sclérose en plaque", la publication scientifique (en version française) du Dr Dominique Le Houézec[1], parue le 14 novembre 2014 dans Immunologic Research, ...

Cette étude originale "Evolution of multiple sclerosis in France since the beginning of hepatitis B vaccination" (PDF en français ou en anglais) reprend, avec un recul de 20 années, les données chiffrées officielles concernant l’évolution de la sclérose en plaque en France. Elle suggère fortement un lien entre l’augmentation de cette affection et la campagne intensive de vaccination contre l’hépatite B menée dans notre pays dans les années 90 (environ 20 millions de personnes vaccinées sur un court laps de 4 années). Cette « expérimentation involontaire réalisée à grande échelle », portant sur le tiers de la population française, éclaire ce qui est parfois qualifié de problème franco-français.

Les conclusions du Dr LE HOUEZEC doivent inciter les autorités sanitaires à reconsidérer leur position sur les conséquences de la vaccination contre l’hépatite B :

« Les données chiffrées disponibles en France montrent donc un signal statistique certain en faveur d’un lien de causalité entre l’événement vaccin anti-HB et l’apparition de SEP, avec une corrélation maximale dans les deux années suivant la vaccination ».

Cette nouvelle étude vient enrichir les connaissances sur les effets indésirables induits par certains vaccins. Elle s’ajoute à plusieurs informations scientifiques diffusées en 2014 :

  • Le 22 mai, lors du colloque organisé par l’OPECST[3] à l’Assemblée Nationale, le Pr Bélec (hôpital Européen Georges Pompidou) a confirmé les travaux du Lee (USA) : « Entre 200 et 400 fragments d’ADN résiduels par ampoule de Gardasil. Ce n’est pas normal. Quelle est la signification ? Je ne sais pas. (…) Il faut absolument continuer les recherches sur ce sujet. Les interactions entre des résidus ADN et l’hydroxyphosphate d’aluminium, ce n’est de toute façon pas normal  ».
  • Le 3 juin, des chercheurs portugais publiaient leurs travaux sous le titre « Myofasciite à macrophages et vaccination : Conséquence ou coïncidence ? »[4]. Leur conclusion après avoir étudié une cohorte portugaise de 16 cas : « Sur la base des données accumulées, cette affection à médiation immunitaire peut être déclenchée par l’exposition aux vaccins contenant de l’aluminium chez des patients avec antécédents génétiques spécifiques. »

Ces données scientifiques justifient amplement nos demandes exprimées depuis des années auprès des pouvoirs publics : [.........]


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