@fly
Que l’on puisse produire en minimisant ces risques ou les conséquences d’un accident (le risque zéro n’existe pas), est une certitude. Le veut-on ?
Monsieur Fly,
Sur une échelle de 0 à 100, quelle est la part en pourcentage de cette réduction du risque ?
Allez, admettons qu’il soit de l’ordre de 95 % - les 5 % restants et leur impact écologique reste inacceptable. Et ne serait-ce que l’impossibilité de traiter les eaux polluées - à moins que ce soit une ânerie, hein ? - suffit à ne pas engager la moindre tentative dans ce mode d’exploitation.
Si un projet qui, selon vos dires, répond à des promesses d’embauches et représente une manne financière pour "tous"est-il à ce point critiqué ? Seriez-vous entrain de nous dire que Pascot s’ennuie au point de n’avoir rien d’autre à faire que de vous enquiquiner ?