@fly
La technique du forage ne réclame pas la même quantité d’eau pollueé que celle que demande une fragmentation. Et il ne s’agit pas de remettre en cause la technique du forage mais en revanche, celle de la grande inconnue d’intervention technique en cas d’accident, voilà où se pose le problème : ne pas savoir le régler s’il y en a un... (La Louisiane s’en souvient encore...)
Et non, si le risque est limité et l’ampleur maîtrisée il n’y a rien d’irréversible.
Alors là, permettez-moi de ne prêter aucun crédit à ce type d’argument qui n’atteindra pas non plus celui qui va renflouer ses caisses avec l’obtention d’un faramineux marché de fracturation, il s’en contrefout de l’étendu du risque et ils n’hésiteront pas à courir des risques contre l’assurance d’une retraite à St Barth. Vous rêvez.