@gaijin
Il semblerait que Nietzsche n’était pas fou à la fin de sa vie mais victime d’un burn out ou plus exactement d’une bouffée délirante dont il ne s’est jamais remis, c’est ce qui risque d’arriver aux grands penseurs qui usent trop de leur organe de prédilection, un peu comme lorsque un acteur porno se brise le frein de son pénis.

Normal quand on brasse du noir toute la journée et qu’on philosophe le jour comme la nuit sans se reposer, il aurait du faire des pauses dans ses réflexions et il aurait été sain d’esprit plus longtemps, de plus, il devait lutter avec l’énergie de ceux qui ont raison trop tôt sur les masses ignorantes, ces différents facteurs ont eu raison de la raison de cet homme dans la fleur de l’âge, ce n’était donc pas un surhomme, loin de là, c’est pourquoi il avait développé cette fascination quasi morbide en compensation virtuelle du syndrome de l’untermensch qui l’a accompagné toute sa vie.