@Zatara
La faute est partagée entre qui ? Je ne me
rappelle plus de la discussion.
Je ne nie pas l’impact du formatage mais ce formatage
n’existe que dans une certaine mesure , la preuve en est qu’en Grèce , beaucoup
de mouvements citoyens ont émergés ( et on retrouve toutes les catégories
sociales dans ces mouvements , des éboueurs , des chefs d’entreprise , des
profs , des chômeurs , des pompiers , des artistes , des maçons , des retraités , des paysans etc.)
et nombre d’entre eux militent pour une sortie de l’euro et de l’austérité.
Pourquoi ces gens là ce sont émancipés du formatage malgré
le fait de vivre dans un monde
électronique et pas les autres ? On en revient à la volonté, c’est
ça la distinction et celui qui n’a pas la volonté d’être libre n’a qu’à s’en
prendre qu’à lui-même quant à sa servitude.
Le formatage est une excuse, c’est la paresse politique dont
parlait péricles qui est déterminante.
@yoananda
-Non. Je t’ai soumis une étude ... tu fais comme si je ne l’avais même
pas dite.
Parce que ce n’est pas une
étude mais les résultats d’une étude expliquée sur 30 lignes avec des paramètres
vagues et spécifiques de la culture anglo-saxonne,
qui n’ont pas grand-chose à voir avec ce
dont nous parlons. Il n’y a strictement rien à en tirer, donc pour ne pas
m’attarder là-dessus, j’ai fait comme si tu ne l’avais pas citée. Mais si tu
veux vraiment que je fasse une réfutation par point par point alors je m’attarderait là dessus.
-Sur le QI il y a des tonnes d’études sur tout un tas de sujets, tu fais
comme s’il n’avait d’influence sur rien
Là, ça part dans tous les
sens. Je sais bien qu’il y’a des tas d’études sur le sujet, et certaines sont
plus sérieuses que d’autres. Je n’ai pas dit non plus que le QI n’avait
d’influence sur rien.
Mais il existe des
extrapolations idéologiques qui font du QI l’alpha et l’oméga de la réalité
sociale et qui découle d’une sorte de métaphysique qui consiste à assimiler
l’humain à un ordinateur que l’on peut modéliser par des données chiffrées . On
a le droit d’avoir ce genre de croyances, mais il ne faut pas accuser de
mauvaise foi ceux qui ne les partagent pas.