Quelle violence mes aïeux, encore des voyous qui ne pensent pas printemps, ça s’entend, ça se sent, ça se voit. Mes pauvres petits, au lieu de vous exciter les doigt et la glotte avec des guitares saturées et des cris gutturaux, pensez printemps et vous nous rejoindrez, calmez vos colères inutiles, vos rages contre la machine, c’est inutile et vain car vous pensez hiver, c’est l’hiver nucléaire dans vos têtes vides, c’est la désolation dans vos esprits stériles, à quoi ça sert de répandre la haine ? La musique est faite pour adoucir les moeurs, chantez et dansez dans notre farandole nouvelle, pensez printemps et vous aurez accès aux médias plutôt que de vous rendre malade dans vos caves.
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Il est inutile de refuser l’évidence, Macron a été élu démocratiquement et est admiré par la grande majorité du peuple de France que vous conspuez avec un dédain et un mépris élitiste de fascistes que vous êtes, vous êtes la bête immonde mais vous êtes surtout vos propres ennemis, car vous refusez de penser printemps.
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Regardez autour de vous, il y a des arbres, des oiseaux, des rivières, des poissons qui chantent l’allégresse de voir se pays se relever enfin grâce à cet homme providentiel envoyé par le ciel, la divine providence, c’est l’évidence, alors ne restez pas dans vos prisons mentales, vous vous torturez pour rien, rejoignez le train En Marche, ne restez pas sur le quai bleu Marine, car avec ce genre de provocations sonores, vous faites le lit du F-Haine, vous faites la litière de Marine Le Pen, vous êtes les artisans de votre propre destruction, arrêtez de faire les enfants, devenez grands, pensez printemps.
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Et prenez des cours de solfège, de grâce avant de prétendre vouloir faire de la zicmu, comme vous dites...