Ça va, je ne suis plus fasciste, je commence à m’y habituer comme on m’a dit de le faire. Je préfère allumer une bougie et chanter plutôt que prendre les armes contre un supposé ennemi. Je suis prêt à payer le prix par le sang de mes enfants pour accueillir tout le monde et n’importe qui dans mon pays, parce que c’est beaucoup plus moralement acceptable que d’être replié sur moi-même.