La raison profonde sous tendant toutes les autres de ce bain de sang, d’abord au Liban, (ce n’est pas fini !) à présent en Syrie, Irak, Libye, Yémen etc, est la pérennité hégémonique au plan militaire, économique, territorial et géopolitique de l’état colonial, théocratique et occidental implanté de force, comme au temps des croisades, au cœur du monde et de la civilisation arabo-musulmane. 

Aussi pertinentes que soit ces histoires de gazoducs et autres hydrocarbures, elles ne sont que carottes pour la mule occidentale.

Leur prochain objectif est l’Iran, ils ne s’en cachent pas et n’ont de cesse, comme des hyènes, d’y tourner autour et de préparer leur opinion publique (c’est la seule qui leur importe) au prochain carnage qui se cumulera aux précédents, mais comme le disaient nos anciens : "A force de chercher ce qu’on ne doit pas chercher, on finit toujours par trouver ce qu’on ne cherche pas" . . .