• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile


Commentaire de njama

sur Vaccins obligatoires : des « grands » médecins à la rescousse d'industriels pharmaceutiques ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

njama njama 1er juillet 2017 09:25

@Garibaldi2
parlons-en des années 50 ... vos copains victimes de la vaccination ? Les vaccins sont-ils sûrs ? on peut se poser la question !

L’histoire de la vaccination contre la poliomyélite est émaillée de nombreux incidents, voire de véritables catastrophes ;
en voici quelques exemples (liste non exhaustive) :

 ? L’incident Cutter (the « Cutter incident »)
Les premiers essais du vaccin Salk sont réalisés en 1952 sur 15 000 sujets dans la région de Pittsburgh, puis jusqu’en 1954 sur 1,8 million d’enfants dans tous les États-Unis. Le 12 avril 1955, le Dr Thomas Francis annonce triomphalement les résultats de ces essais sur le terrain, déclarant que le vaccin Salk est « safe, effective and potent » (sûr, efficace et puissant) ; mais le 26 avril 1955, les premiers cas de polio paralytique dus aux vaccins issus en majorité du laboratoire Cutter [7] sont rapportés aux autorités sanitaires.

Les vaccins, fabriqués à la va-vite, avaient été insuffisamment inactivés et des poliovirus vivants contaminèrent 220 000 personnes, parmi les vaccinés mais aussi leurs contacts, dont plus de 100 000 enfants ; 70 000 développèrent une atonie musculaire, 164 une paralysie grave et on dénombra 11 morts.

 ? La contamination par le SV40
En 1960 Sweet et Hilleman découvrent la présence d’un virus de singe, le SV40 [8] dans des vaccins préparés à partir de poliovirus cultivés sur des cellules de rein de singe.

Michel Georget consacre un long chapitre à « l’aventure du SV40 » dans son ouvrage Vaccinations, les vérités indésirables, avec de nombreuses références.

 « Dès 1958, au moins 26 virus simiens avaient été découverts comme contaminants des cultures cellulaires de reins de singe, virus simiens apparentés à divers groupes de virus humains (ECHO, Coxsackie, herpès, adénovirus, et peut-être d’autres groupes de virus. [...]
 Les vaccins préparés à partir de ces cultures contenaient ce virus sans qu’on ait soupçonné sa présence. Pour comble de malheur, ce virus SV40 étant résistant au formaldéhyde utilisé pour inactiver les virus polio, les vaccins de type inactivé furent tout autant contaminés que les vaccins atténués. »
C’était l’époque de la concurrence acharnée dans la lutte contre la poliomyélite et des vaccinations de masse ; au moment de la découverte de cette contamination, 98 millions de personnes avaient déjà été vaccinées aux États-Unis, dont 90 % de moins de 20 ans, et des dizaines de millions d’autres dans divers pays (URSS, etc.).

En 1961, les laboratoires Merck et Parke-Davis décident alors d’interrompre la fabrication de leurs vaccins anti-polio (oraux et injectables), ce qui rend l’affaire publique.

En 1962, il est démontré que le SV40 provoque des tumeurs cérébrales chez le hamster nouveau-né et chez le rat. Son rôle oncogène chez l’homme sera contesté ou minimisé par certains, mais au fil des années diverses études mèneront à des conclusions inquiétantes (incidence plus élevée de cancers chez les enfants de mères vaccinées lors de la grossesse avec ces vaccins contaminés, présence du virus SV40 dans des tumeurs cérébrales humaines, etc.).

 ? Retour à la virulence des souches vaccinales


Les vaccins anti-polio buvables à virus atténué ont été responsables, dès le début et encore à l’heure actuelle, de nombreuses poliomyélites paralytiques iatrogènes.
« Les souches virales vaccinales conçues par l’homme et répandues en masse dans l’environnement peuvent dans certaines conditions entretenir un réservoir de souches pathogènes. » [14]

Une enquête de l’OMS dans huit pays européens, de 1970 à 1974, a montré que sur 360 cas de poliomyélite avec formes paralytiques, 205 étaient associés à la vaccination (61 chez les vaccinés eux-mêmes et 144 parmi leurs contacts) ; après la disparition de la polio sauvage aux États-Unis en 1979, on dénombra 154 cas de paralysie dus au vaccin vivant entre 1980 et 1999 ; 11 cas en France entre 1979 et 1986 ; entre 2000 et 2009, douze flambées de poliomyélites paralytiques dues au poliovirus dérivés de souches vaccinales circulants (PVDVc) ont été signalées sur trois continents, dont une grande flambée au Nigéria (355 cas dont 124 cas au cours des 6 premiers mois de 2009) ; etc. La littérature médicale regorge de ces exemples [9].
On estime actuellement le risque à 4 cas annuels par 1 million de doses, chez les vaccinés et les contacts.
[...........]

http://www.infovaccin.fr/zoom_polio.html


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès