Il y a peut-être un phénomène de psychose collective qui accentue la perception qu’ont les gens du phénomène de pillage, mais il a été confirmé que :
1) la sous-préfète s’est littéralement enfui à temps laissant ses administrés dans la mouise
2) que les pillards sont pour beaucoup des migrants (d’haïtï en particulier) identifiés depuis un certain temps. Les autorités n’ont pas décidément pas anticipé que l’île coupée relativement du monde serait en proie à des rôdeurs
3) Macron en voyage en Grèce aux moments des faits et le premier ministre à la foire à Pau le 9 quand la crise sévit toujours.