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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Alejandro Jodorowsky : « La Danza de la Realidad »

Alejandro Jodorowsky : « La Danza de la Realidad »

Nous avons eu le plaisir de pouvoir filmer l’onirique Alejandro Jodorowsky et Pascale Montandon, face à leur public suite à la projection de « La Danza de la Realidad » (La Danse de la Réalité), un film largement auto-biographique. Cette projection était organisée dans le cadre du festival Utopia, au cinéma L’Écran à St-Denis.

 

Pour ceux qui ne connaissent pas l’artiste chilien aux mille facettes, Alejandro Jodorowsky est acteur de théâtre, auteur de pièces, mime (il a été l’élève du mime Marceau… Et le professeur de Maurice Chevalier !), scénariste de bandes-dessinées (L’Incal, La Caste des Métabarons, …), réalisateur ; il a par ailleurs développé deux techniques thérapeutiques : la psychomagie, et la psychogénéalogie.

Tags : Cinéma




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8 réactions à cet article    


  • vote
    bourne 29 mars 2014 15:44

    Si vous voulez avoir une idée de l’œuvre de ’ Jodo ’, allez sur sa page Wikipédia.

    Ses relations, accointances artistiques, financements, vous en diront plus long que n’importe quelles interviews ou vidéos laudatrices .

    Il est juste imbitable pour moi... un genre de génie à la Godard, comme le cinéma doit en entretenir pour conserver un peu de son aura magique....

    .

    By Laterna magica

     


    • 1 vote
      attis attis 30 mars 2014 19:06

      Un prosélyte de la répugnante mouvance niouaigeo-ésotérico-théosophico-gnostique, viscéralement anti-catholique, et proche des idées du sinistre OTO ( John Lennon était un fan, il a même co-financé La montagne sacrée ).
      A éviter comme la peste, surtout pour les non-initiés.

      @ bourne
      Ce type est certes imbitable, mais ce n’ est pas un génie. Aucun rapport avec Godard non plus.
      Par contre, je te rejoins quand tu dis que l’ industrie du cinéma a besoin de propagandistes de ce genre pour diffuser son aura "magick".


      • 3 votes
        Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 30 mars 2014 23:47

        Un scénariste de BD très original et un personnage intéressant dans sa manière d’associer poésie et magie. Il est aussi capable de reconnaître les excès des mouvements auquel il a participé dans sa jeunesse, en soulignant que le temps n’est plus à la déconstruction d’un monde bourgeois sclérosé mais à la construction d’un nouveau rapport à la réalité et à l’autre.


        • 1 vote
          Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 30 mars 2014 23:50

          Prise de son horrible + accent à découper à la hache = écoute interrompue au bout de quelques minutes. 


        • 1 vote
          Castel 31 mars 2014 09:03

          La dansa de la realidade, film très intéressant sur un plan philosophique. Cela montre juste que la vie est une illusion fait pour que quelque chose prenne conscience de quelque chose. Tant pis pour ceux qui ne l’aiment pas.


          • vote
            Chitine Chitine 31 mars 2014 11:55

            Je ne sais pas si cet auteur est un fou à imbitable à éviter, comme le suggère attis, ou un génie, mais en ce qui me concerne, à chaque fois que j’entends le mot "dystopie", je pense "Jodorowsky" .
            Sa SF BD est une projection hyperbolique de notre monde d’overdose matérielle et de délabrement spirituel.
            Ces mondes qu’il dépeint sont comme des cauchemars dont on se sait toujours plus proche d’atteindre le seuil au fur et à mesure de notre chute dans leur noirceur, où les monstruosités ultra-sophistiquées rejoignent l’innocence des corps purs, où l’humain dans sa banale médiocrité devient le siège de puissances démiurgiques inouïes.
            Je n’ai jamais lu quelque chose d’aussi pessimiste et réjouissant à la fois.


            • 1 vote
              Castel 31 mars 2014 13:49

              On est plus concerné par la réalité dans le cauchemars que dans le doux rêve. Le cauchemars est un puissant stimulant intellectuel. C’est aussi cela que nous dit ses films.


            • vote
              Chitine Chitine 31 mars 2014 14:12

              "On est plus concerné par la réalité dans le cauchemars que dans le doux rêve. Le cauchemars est un puissant stimulant intellectuel. C’est aussi cela que nous dit ses films."
              .
              Stimulant, c’est le mot.



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