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concombres

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Tableau de bord

  • Premier article le 26/09/2013
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Derniers commentaires




  • 2 votes
    concombres 26 avril 2016 10:35

    En tout cas les commentaires donnent un début de réponse à la question posée.

    Personne n’entend la même chose par police. Et la formule varie entre police et policiers.
    Certains voient les policiers comme une somme d’individus travailleurs. Pour eux affubler la police d’un petit nom c’est faire des généralités.
    Certains les voient même comme des prolétaires. ?? ( cf. Marx : la non-classe qui abolira toute les classes ? ) héhé.
    D’autres voient la police comme une institution, le bras armé de l’état.
    D’autres encore la voit comme une technique de gouvernement à part entière.

    Tout ça illustre bien la bâtardise de la police.
    Mais les policiers eux, sont-ils tous des bâtards ?

    Ceux qui se figurent le pouvoir sous la forme de structures, d’institutions voient la police comme ce qui permet de faire fonctionner la justice. SI la justice est pourrie ils pourront dire fuck the police.
    Ceux qui se figurent les pouvoirs comme technologiques et voient dans la police une technique de gouvernement et dans le policier l’instance de son actualisation, diront pour peu qu’ils soient révolutionnaires, ACAB.



  • 1 vote
    concombres 10 janvier 2016 18:47

    @Heimskringla

    milton friedman le prophète. mmm tu as vendu ton âme pour un crayon. Il t’as ensorcelé. Rien à faire il est pourri son crayon. Si tu penses l’inverse c’est que jamais de ta vie tu n’as touché un objet technique digne de ce nom. Ce n’est pas un de ces 100 ouvriers qui ont fabriqué cette merde que tu entendra causer comme ça.

     

    Le marché c’est la paix. Il faut être un sacré nihiliste pour tenir un tel discours. Je vois de la bave s’écouler de sa gueule ensanglantée. Pourriture de criminel.

    90 ballets passés à professer la mort au chaud dans ses quartiers. Ses proies, elles, n’ont même pas eu le temps de jouer avec papa maman qu’elles étaient déjà, au mieux enchainées à l’usine sinon décapitées à la machette.



  • 1 vote
    concombres 10 janvier 2016 16:00

    Il y a un bon échantillon de résignés ici.
     
    Les pétrifiés qui invoquent constamment (ce qu’ils connaissent de) l’histoire pour nous ramener interminablement au néant des possibles. Comme si tout ce que nous ne connaissons pas ne pouvait ni advenir ni avoir été. Le passé écrit dans les bouquins est non seulement exhaustif, mais c’est notre horizon. Religion de la mort. Zéro foi en l’imagination, donc zéro foi en eux-même. Attitude qui défie toute les lois de l’expérience. C’est que l’ennui quotidien du net ça laisse de grosses séquelles, c’est assez pauvre en expériences. Depuis leur connaissance abstraite et falsifiée du monde, ils traiteront les vrais terriens d’u-topistes, eux qui n’habitent réellement aucun lieu. Inversion infernale des choses. Ils seront du côté du réalisme anthropologique, de la sagesse raisonnable raisonnante, écho infernale de la raison qui roule sur elle-même, boucle interminable et pourtant déjà terminée, le passé c’est le futur. En somme une grosse paire de ciseaux pour te couper les couilles.
     
    Les immobilistes, adorateurs du maître. Mélomanes frileux drogués à la ritournelle du confort, ils aiment tant flemmarder sous leur couette toute la journée pourvu que maman soit là pour les bercer de contines soporifiques. Les temps n’ont jamais été aussi amicales, bien qu’ils n’aient jamais rien connu d’autre. Eux ils sont nés depuis le point indifférencié de leur mort. Leur naissance fut leur accomplissement. La mort est confortable, souriante et mélodique.
     
    Ceux qui voient dans le maître la nature elle-même. Pour cause l’économie c’est le feu. Ils semblent oublier qu’ils en sont eux aussi de la nature. Et qu’ils sont périssables comme elle. Eux ils se tondraient eux-même si le berger leur demandait poliment, croyant entendre la nature leur chuchoter leur avenir.
     
    Ceux qui avec lucidité invoquent le péril guerrier de la liberté. Leur lâcheté les préserve de la vie. La vie étant la guerre. Et la guerre n’étant pas ce qu’ils croient qu’elle est, ils choisissent délibérément la mort pourvu qu’elle soit pacifiée. Ils sont aveugles à toutes les guerres réelles qui traversent notre monde. Ils ne connaissent que le spectacle des affrontements orchestrés. Pour eux la guerre se fait entre militaires. Et eux ne sont pas militaires.
     
    A tous ceux-là. Qu’ils CausentToujours. La démocratie très peu pour moi.
     
    Heureusement il y en a qui sans aucune prétention à écrire le passé, pour qui une fausse note a éveillé l’odorat de l’intuition. Pour qui la supposée naturalité du maître sent maintenant irrémédiablement la mort. Dont la peur exempt de lâcheté les embarque sur les sentiers imprévisibles de la vie non administrée. Travaillent à rendre évidente la supercherie, répondent gentiment aux commentaires, intensifient la dissémination du bon sens. Parce-que ce sont des enfants. Qu’ils veulent qu’on les rejoigne, ils veulent des copains plus de copains encore pour jouer. Ceux là ils font un immense bien.
    Le monde économique est beaucoup beaucoup plus fragile que ce que les commentaires ici présents laissent entendre.
     
    Pourquoi on irait pas jouer avec eux ?? Qu’avons nous à perdre si ce n’est l’ennui des comptes bien faits ?



  • 2 votes
    concombres 15 décembre 2015 23:06

    @Qaspard Delanuit

    Garder des graines pour l’année prochaine n’est pas un savoir. L’économie est un savoir.

    Maintenant tu pourrais défendre que pour garder des graines il faut évaluer tenir des comptes auquel cas tu fais de l’économisme, selon tes dires. Il n’y a rien qui semble signifier quoique ce soit dans cette distinction économisme/économie.

    Moi je crois que garder des graines pour l’année prochaine c’est juste du bon sens qui bien longtemps a ignoré la raison économique et que maintenant toi tu as décidé de ramener ce bon sens à de l’économie.

    Si tu ne tiens qu’à cette raison là qui ignore la raison économique, et que tu veux vraiment l’appeler comme ça alors je te le laisse ton mot économie. Mais il faudrait pas que ca obscurcisse la cible à abattre voilà tout !

    "C’est un débat de mot. (...) Il va nous manquer un mot"

    Comment les gens s’oragnisent entre eux, avec le monde, avec les choses qui les entourent ? J’appelle ça de la politique.

    Quelqu’un qui économise ses ressources comme tu dis ca s’appelle de la clairvoyance. Et c’est marrant parce-qu’il explique très bien que l’économie c’est que de la prévisions. Comment les agents vont ou doivent s’agencer économiquement.



  • 1 vote
    concombres 15 décembre 2015 22:35

    @Qaspard Delanuit
    Le type parle bien de l’économie, de la production de savoirs et de pratiques économiques. Il ne cherche pas à dévoiler des abus ou des dégénérescences de l’économie. Il cherche bien à détruire l’économie, un mode de gouvernement, un agencement des pouvoirs qui est économique.

    Je comprend pas bien le sens de la nuance que vous introduisez. Est-ce que vous voulez signifier que l’économie existe en soit ? Et qu’il ne tient qu’à nous de ne pas en faire une religion ou une idéologie ? C’est une erreur cosmique une aberration épistémologique bien répandue.

    Ton exemple de cheval à 5 pattes m’a bien fait marrer, c’est vraiment de la pataphysique et c’est exactement une intention économiste (pas au sens ou tu l’entendais je crois) - ramener des faits des observations ( en l’occurrence même du virtuel, le cheval n’a pas 5 pattes) à du savoir économique. C’est un espèce d’arraisonnement au sens philosophique

    Pourquoi les arbres sont fait de bois ? Parce-que s’ils étaient en pierre le ciseau à bois serait pas commode. Vous voyez le ciseau à bois précède l’homme - un truc de ce gout là.

    Si oikos veut dire le foyer, Nomos l’administration, la gestion. Economie c’est en fait en substance la comptabilité. Noter entrées et sorties de matières. Il s’agit là d’un acte et d’une production de savoir (qui est aussi un acte, au passage). Le 4 pattes du cheval sont dans ta tête tout comme l’est le cheval à 5 pattes.

    Plus globalement l’économie c’est le savoir technique des agencements entre agents économiques.

    Et un agencement économique est un agencement politique !

    Je crois que ce que tu entendais par économisme c’est l’idéologie économique. Mais toute économie est politique. La politique pour moi c’est comment est-ce qu’on s’agence ?

    qu’est-ce qu’il y a entre nous ? La réponse de notre civilisation qui n’est pas nécessairement celle de ta famille ou de ta communauté religieuse ? est : de l’économie.

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