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Anthony Michel

Anthony Michel

Auteur éditeur d'abord des aventures de Toni Truand (romans argotiques d'espionnage) puis d'essais décalés (Antoine Chimel) puis d'essais ésotériques, philosophiques et politiques :
Résigné et Révolté  ;
L'aNarque, l'Homme-anarchie ;
La Confiance en l'Esprit.

Auteur du projet nommé Les Cahiers d'un Anarchiste conservateur

Plus d'infos sur ses parutions : site de vente | Les livres d'Anthony Michel

« Pour toute info sur mes ouvrages, travaux d'écriture et actions,
n'hésitez pas à me contacter à l'adresse suivante : [email protected] »

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  • Premier article le 13/06/2015
  • Modérateur depuis le 27/08/2015
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    Anthony Michel Anthony Michel 21 novembre 2015 23:36

    @el pepe

    — L’islam, dans sa version pratique et originelle, est laïc.

    — Quant à loucher autant sur les États-Unis, n’est-ce pas l’empire nord-américain qui principalement finance les O.N.G. favorables aux migrations du Sud vers le Nord ? Je pense, en vérité, que, les États-Unis étant une puissance déclinante, leurs représentants impérialistes veulent entraîner dans leur déclin notre Europe.

    — Une remarque, à présent, à propos de l’expression « pays judéo-chrétien ». Je penserais, plutôt comme Charles De Gaulle, que le peuple de France est avant tout de « culture grecque et latine et de religion chrétienne ». Ce qui se comprend très bien car — même si le Christ était juif et qu’en outre nous pouvons sérieusement juger que le Nouveau Testament ne serait pas ce qu’il est sans l’Ancien Testament —, la « première naissance » de la France peut se retrouver dans le baptême de Clovis — un baptême catholique — et la « seconde naissance » dans le sacre d’Hugues Capet — un sacre catholique. Le royaume des Francs puis de France devient une entité civilisatrice, une unité politique, à part entière autour du catholicisme. D’autres croyances se croisent sur le territoire français depuis la naissance de la France en raison de ses traditions païennes. En résumé, la France est, dans son histoire, principalement catholique et païenne.

    — Concernant « la redistribution des richesses et une véritable socialisation des moyens de production et d’échange », je ne pense pas que cette volonté mérite tant de caricatures. Il ne faut pas, par ailleurs, faire semblant de ne pas avoir compris. Je ne pense pas que avoir visé, dans mon article, la petite bourgeoisie. Je suis plutôt favorable à son alliance avec le prolétariat (ou, en version modernisée, la salariat).
    Je m’explique. Déjà, pour moi, les notions de « gauche » et de « droite » peuvent très vite perdre beaucoup de sens. Après tout, certains politologues distinguent entre autres une droite libérale d’une droite antilibérale, une gauche libérale d’une gauche antilibérale, etc.
    En reprenant de manière un peu vulgarisée la classification marxiste des classes sociales, nous pouvons néanmoins relever que, traditionnellement, le prolétaire vote, en général, à gauche, le petit bourgeois à droite, le grand bourgeois à gauche et « l’aristocrate » financier à droite. En toute logique pourtant, les interactions interclasses sont majoritairement entre deux classes périphériques. Autrement dit, l’ouvrier (prolétaire) côtoie beaucoup plus fréquemment son patron (petit bourgeois) qu’un banquier de Wallstreet (« aristocrate » financier). Apôtre du libéralisme culturel et de ce progressisme en harmonie avec la licence de l’hyperclasse – soit, pour les ultrariches de la planète, le droit de tout dire et de tout faire –, le grand bourgeois, lui, saura justifier le comportement de « l’aristocrate » financier ; ne pas oublier le bourgeois d’affaires qui peut faire tampon entre les deux, sinon se confondre avec le grand bourgeois. Par conséquent, s’il doit y avoir un degré, même minimal, de solidarité entre deux membres issus de classes différentes, il concerne des classes périphériques.
    D’autant qu’à « droite », « l’aristocrate » financier saura économiquement arnaquer le petit bourgeois. À « gauche », le grand bourgeois saura idéologiquement arnaquer le prolétaire.
    N’oublions pas, enfin, la paysannerie. Désignant les petits agriculteurs propriétaires – alors que les ouvriers agricoles restent des prolétaires –, elle est, avec la petite bourgeoisie, la seconde frange de la classe moyenne (nom trompeur étant donnée l’actuelle prolétarisation de la majorité de ses éléments, George Orwell entre autres, dans Le Quai de Wigan, avait prédit ce phénomène). Elle n’échappe pas à la précédente logique. Même si les paysanneries du monde entier n’ont pas le même accès aux progrès techniques et au confort matériel, nous pouvons facilement imaginer que le propos suivant les concerne plus ou moins toutes : « Un rapport sur la situation en Birmanie, rédigé par des experts d’une des grandes institutions capitalistes internationales, […] expliquait qu’une partie des difficultés rencontrées par les entreprises occidentales pour s’implanter en profondeur dans ce pays, tenaient au fait que la recherche du profit individuel et le désir de s’enrichir avaient encore trop peu de prise sur la paysannerie traditionnelle birmane. Ces missionnaires libéraux en concluaient tranquillement qu’il fallait contraindre ces populations à entrer dans la modernité en les amenant à rompre avec leur mentalité archaïque et « conservatrice » (Jean-Claude Michéa, A contretemps, juillet 2008). D’où les faibles connexions qui peuvent se faire entre les intérêts paysans et ceux de « l’aristocratie financière » ou de la bourgeoisie d’affaires. Culturellement, le moralisme de la grande bourgeoisie reste globalement incompatible avec l’éthique paysanne classique.



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    Anthony Michel Anthony Michel 21 novembre 2015 02:08

    En complément ; même si le propos du monsieur en question succède aux attentats parisiens de janvier (et non de novembre) 2015 ; mais le « management de la terreur » ne date plus d’hier : https://www.youtube.com/watch?v=jwPw8yEho4g



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    Anthony Michel Anthony Michel 21 septembre 2015 15:25

    @Joe Chip

    J’ai lu, dans un commentaire Youtube, que l’entraîneur NZ avait fait une erreur fatale en faisant jouer Jeff Wilson arrière et que ceci a valu les deux derniers essais français ; Wilson avait beaucoup plus l’habitude de jouer ailier. C’est un avis qui peut sembler intéressant.



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    Anthony Michel Anthony Michel 16 septembre 2015 11:43

    @Joe Chip

    Très bon complément. Merci.



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    Anthony Michel Anthony Michel 16 septembre 2015 11:40

    @DJL 93VIDEO

    Merci de cette rectification, aussi pour la remarque concernant le comportement des joueurs sur le terrain. :)

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