Quoi qu’il arrive,...quoi qu’il arrive,...quoi qu’il arrive..
Quelqu’un pourrait lui dire à quel point il est ridicule suranné, manquerait plus qu’il fasse chanter à sa femme un hymne à la liberté en guise de conclusion lyrique.
L’imposteur propagandiste achève de discréditer le crédit des intellectuels français.
Honte à lui, il mérite encore quelques bonnes tartes à la crème.