Eh bien, si l’on avait pas encore compris que BHL est à la philosophie ce que Sarkozy est à la politique ou Bigard à l’humour (des fossoyeurs), cette fois-ci la preuve est faite.
La crise en cours en Iran est, à mon sens, déjà suffisamment compliquée à traiter sans avoir en plus besoin des lumières obscures d’un pseudo-intellectuel médiatique.
Monsieur BHL, arrêtez de nous labourer les tympans (et accessoirement de massacrer l’anglais).