@Paradisial : D’accord à l’exception de la conclusion, tes trois dernières lignes.
Je préfère le mot nécessité, déterminisme au concept de hazard ; mais ce n’est qu’une question de vocabulaire.
Et il semble que vous le compreniez très bien quand vous évoquez les "lois régissant l’univers".
Quant au pseudo-aveuglement de ceux qui ne reconnaissent pas la nécessité d’une création et d’un démiurge créateur, je répondrai simplement que ma logique s’accomode mieux d’un univers incréé que d’un passage du non-être à l’être, du vide métaphysique au plein.
La question qui m’interpelle va plus vers la nature profonde de ce qui compose ce qu’on appelle matière que d’un éventuel jaillissement de celle-ci du vide.