Mais du travail, Pupponi, maire de Sarcelles en a donné à Ali Soumaré, collaborateur de cabinet. C’est pas rien.
et puis Soumaré n’est pas venu au boulot.
"Depuis le lendemain des élections régionales, fin mars, il ne mettait plus les pieds au bureau, malgré les courriers de relance que nous lui avions envoyés. Quelqu’un qui ne vient pas travailler, on ne peut pas le garder, c’est une question de justice et de droit", explique François Pupponi.