J’ajouterais que depuis 30 ans le projet Transaqua attend de reverdir la moitié de l’Afrique mais que bizarrement le plaidoyer du Club de Rome contre la généralisation des infrastructures a été repris dans les média à la botte des anglosaxons anti-dévelloppement.
Il y a certainement une gradation dans le fascisme mais détester le développement pour refuser le partage de technologie (qui demanderait d’ailleurs un financement publique sans intérêts comme pendant les 30 glorieuses) est un très bon début.