Le problème, c’est que les parlementaires perdent quasiment toujours la signification profonde du mot "mandat". Dès qu’ils sont au pouvoir, ils se foutent bien de ceux qui les y ont porté et de leurs souhaits. Ils gouvernent au profit des groupes économico-financiers tout en prétendant hypocritement qu’en dernier ressort le pouvoir d’achat et l’emploi s’en porteront mieux pour tout le monde.