La mondialisation est un phénomène naturel,
tout comme les tsunamis ou la grippe.
mais le mondialisme est une
doctrine fasciste. C’est contre cette dernière qu’elle se bat. Sinon, à
part cela, j’attends toujours des arguments basés sur des faits, et pas
sur des préjugés.
Le mondialisme
repose sur le libre-échange des hommes et des marchandises, les hommes
étant synonymes de marchandise à ses yeux ; sur le libre-échange et, par
conséquent, sur tout ce qui peut faire obstacle au libre-échange : les
frontières et les communautés ethnico-nationales. Le fascisme,
politiquement comme économiquement, est tout entier fondé sur le
protectionnisme et l’autarcie, dans le respect de la communauté
ethnico-nationale.
Préjugé : "Le national-socialisme, c’est pô bien"
Faits
: en 1933, l’Allemagne, à la grande fureur des marchés et de ceux qui
les téléguident, détache le Reichsmark de l’étalon-or et, après quelques
20 années de gabegies mondialistes sous Weimar, reprend et intensifie
la politique protectionniste initiée par Bismarck : le chômage est
éradiquée en quelques années. Au milieu des années 1930, l’Allemagne
institue un commerce de troc avec ses voisins du bassin danubien et de
l’Europe de l’est, court-circuitant ainsi les intermédiaires et les
parasites du capitalisme financier. Une ère de prospérité s’ouvre pour
ces pays.
Préjugé : "Le libre-échange, c’est trô bien".
Faits
: à la fin des années 1840, l’Angleterre rompt brutalement avec sa
politique économique protectionniste. Quelques décennies plus tard, la
paupérisation des masses anglaises est complète, les travailleurs
anglais ne pouvant lutter contre les produits à bas prix importés des
Indes par Sa Majesté. Dans les années 1870, en Allemagne, Bismarck
instaure le protectionnisme économique, tout en créant la sécurité
sociale : en quelques années, la situation catastrophique du peuple
allemand s’améliore nettement.