Ce qu’il y a de bien avec les vieux, c’est qu’avant de crever, alors certain de n’avoir plus rien à perdre ni à gagner ou même à craindre, ils, parfois, se lâchent et se mettent à dire ce qu’ils savent .
Vraiment intéressant. Une bonne piste à suivre pour les bons journalistes : chercher les vieux puissant à bout de force et dont la mémoire défaillante et ou le remord leur fait rompre le silence.