Non, pas nécessairement. Il fallait une tournure d’esprit très particulière pour penser à vérifier qu’en ouvrant sous illustrator un pdf produit sous photoshop, on retrouverait préservé les calques qui ne semblaient plus accessible sous photoshop ou acrobat reader. A la limite, ça plaide plutôt pour l’innocence : la personne qui serait dans une activité de falsification aurait déjà beaucoup plus de chances d’y penser.