1° Ramadan n’a pas contesté les prétendues déclarations de Ben Laden après le 11 septembre.

  2° Il n’a pas non plus contesté le récit qui a été fait des circonstances de la mort de Ben Laden.

  Evidemment, le temps manquait et les dés étaient pipés. Il est en fin de compte étonnant que, Brisard ou pas, Ramadan se soit prêté à ce jeu. 

  De quel nadir Quilès émerge-t-il pour cette puante circonstance ? Lui qui s’était illustré après la victoire socialiste de 1981 en réclamant que des têtes tombassent (ce qui lui avait valu le coquet surnom de Robespaul).