Inviter Goldman Sachs à propos de la Grèce, il faut oser ! C’est une vraie provocation. Quelle arrogance !
Rappelons que GS a (1) conseillé la Grèce dans la dissimulation de sa dette pour que celle-ci puisse rejoindre l’Euro (près de 500 millions d’Euros de commissions perçues par GS), puis ensuite (2) parié contre la dette grecque (plusieurs milliards d’euros de gains spéculatifs pour GS).
Le salut de la Grèce passe par (a) le défaut partiel ou total sur sa dette, puis (b) la sortie de l’Euro et (c) la dévaluation. C’est simple et efficace. Il faut juste trouver des politiques non corrompus, non traîtres à leur nation. Et ça, c’est le plus difficile...