On dirait de la prose Facebook...
Désolé, des apprentis boxeurs ne tapaient pas des gamines à la sortie de l’école quand j’étais lycéen. Mais à l’époque on se se vautrait pas par terre dans la rue dans la pisse de chien, on ne quittait pas l’établissement en hurlant comme des sauvages, en jetant canettes et papiers gras, et en squattant les appuis de fenêtre des rez-de-chaussée d’en face. Et on n’avait pas les oreilles branchées en permanence sur des appels à la violence et à la sauvagerie. Et les gamines de 13 ans, encouragées par les merdias, ne jouaient pas aux femmes fatales.